Sur les routes du Tour de France

Découvrez la commune de Vouharte hors des sentiers battus

Se munir d'un téléphone si vous souhaitez prendre le parcours au départ en photo.
Vouharte offre le gîte et le couvert aux pollinisateurs

Découvrez d’îlots en îlots les espèces végétales qui offrent tout au long de l’année un lieu favorable à une multitude d’insectes.

La commune, par ses choix de gestion et d’aménagements, s’attache à préserver les espaces publics existants et en créer de nouveaux. Sur le parcours, vous pourrez ainsi découvrir les tilleuls derrière l’église, la place enherbée du lavoir, le chemin des Gaulois, la combe de la Garenne avec ses talus plantés et sa prairie sauvage, le sous-bois de lierre, le verger et la mare.

Pour favoriser le déplacement des espèces entre tous ces lieux, la commune met en place plusieurs actions : fleurissement en pieds de murs, plantations de haies, d’arbres...

Appropriez-vous cette démarche : quelle que soit la surface de votre terrain, vous pouvez participer vous aussi à la préservation et à l’amélioration de la biodiversité.

Découvrez l'église prieurale Notre Dame de Vouharte.
Le site de Vouharte est mentionné pour la 1ère fois vers 698 à l'occasion d'un don à l'abbaye de St-Wandrille (Normandie), mais, c'est au cours de la seconde moitié du XIème siècle qu'il faut dater l'installation d'un prieuré par les moines de l'abbaye de Charroux (Sud Vienne). De l'ancien prieuré, situé au sud de l'église, il ne reste qu'un seul bâtiment datant de l'époque gothique. Il est difficile de restituer le plan de l'édifice roman car de cette époque, il ne reste que la nef et le clocher. L'église était affectée au prieuré et à la paroisse ; ainsi le chœur (à al charge du prieuré) a été réédifié au XIVème siècle, tandis que la nef (à la charge de la paroisse) est restée romaine, bien que modifiée.
A noter : la piscine liturgique (lavabo) située dans le mur sud de la nef, les chapiteaux, sobres, datant du milieu du XIIème siècle et la série d'arcades tout à fait singulières à l'ouest dans la 1ère partie de la nef servant à conforter les murs.
L'élément le plus remarquable de l'édifice est sans contexte le clocher. Etabli sur une tour de section carrée de la fin du XIème siècle, il se poursuit par un niveau en retrait puis par un étage de plan octogonal datant du XIIème siècle. Les baies tronquées du 1er étage montrent qu'il devait être plus haut. Ce mode de construction lui donne un aspect monumental ; il est probable qu'à l'origine ce campanile était isolé.