PLAN IGN
Outdoor
Vous voilà prêt à attaquer les routes et cols empruntés régulièrement par les coureurs du Tour de France – là où ont eu lieu des combat inoubliables, des défaillances, des attaques de légende….
Baladez-vous le long de la Charente et dans le village. Prenez le temps de faire une pause pique-nique ou bien de vous détendre à l'aire de loisir.
En quittant la D69, vous entrez dans la prairie de Mentresse où tout un réseau de ruisseaux et de fossés a été réaménagé en frayères à brochets.
Depuis 2004 ce réseau est alimenté par un empellement en amont de la digue du moulin. Cette dernière a été réhabilitée en 2003.
Le sentier herbeux se poursuit le long des berges de la Charente.
Depuis la ferme de La Malbâtie, entamer la montée vers le Coteau des Granges.
Après le carrefour de la Rebérolle, plusieurs points de vue s’offrent à vous, dont un sur le village de Villognon.
Au sommet du coteau, un joli panorama sur le Rouillacais, la Forêt de Tusson, le Ruffécois et les sites éoliens des environs. Vous apercevez le bourg d’Ambérac en contrebas. Lors de la descente, vous pourrez admirer sur la gauche une belle allée (privée) bordée de charmes.
À la sortie des Granges coule le ruisseau qui alimente les frayères de Mentresse.
Regagnez l’aire de loisirs par la D69
Téléphone : 05 45 20 68 46
Email : secretariat@coeurdecharente.fr
Site web : www.coeurdecharente.fr
Toute l'année.
Office de tourisme Destination Nord Charente - 16/12/2023
www.ruffecois-tourisme.com
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PLAN IGN
PHOTOS AERIENNES / IGN
CARTE DES PENTES (PLAN IGN)
L'ancien prieuré St Nicolas de Villognon dépendait de l'abbaye de Saint-Amant-De-Boixe : peu après 1040, le comte d'Angoulême, fait don de sa villa de Villognon et ses domaines de l'abbaye, qui y fera construire une église, polarisant ainsi la population.
d'autres dont suivent, permettant à ce prieuré de se développer, avec moulins, pêcheries, four banal, grange, écurie, chai, logis, ect. Il reste encore d'imposants vestiges de l'ancien logis prieural sur le flanc sud de l'église. L'église actuelle, édifiée au XIIème siècle, a été largement remaniée : sa façade, la nef, et son mur gouttereau nord. Les couvertures était essentiellement faites de lauzes (pierres calcaires plates).
La façade, reconstruite en partie supérieure, se compose d'un très beau portail à trois voussures, sculptées d'ornements géométriques, soutenues par d'élégants chapiteaux. Il est flanqué de part et d'autre de deux panneaux sculptés : celui du nord représenterait un évêque bénissant d'autres personnages (certains y ont vu l'intronisation de St Nicolas ?), tandis que celui du sud évoque St Michel terrassant le dragon, accompagné d'un autre ange (St Raphaël ?). En partie supérieure, divers éléments sculptés, plus tardifs, ont été réemployées. La présence de l'ancien cimetière situé au-devant de la façade, explique la surélévation du sol, donnant ainsi un aspect trapu au portail.
L'édifice actuel se compose d'une nef unique se terminant par une abside, précédée d'une travée sous clocher. L'intérieur de la nef a perdu sa voûte en pierre : seuls subsistent les deux colonnes qui devaient certainement soutenir un arc doubleau. L'abside, éclairée de trois baies, possédait une piscine liturgique (lavabo) au sud.
Aire de pique-nique avec des espaces ombragés.
Profitez d'un moment agréable autour d'un pique-nique en famille ou entre amis.
Fouqueure est une commune rurale au riche passé avec de nombreux vestiges dont les plus anciens datent de la préhistoire.
«Les Ganets» : sur votre droite, l’emplacement des sablières.
Une fois les dernières maisons passées via larue de la Petite Gare (gare du Petit Mairat) et la route des Marais, on gagne très rapidement les parcelles cultivées pour arriver au lavoir de Fouqueure et la source de la Font Péraud. À remarquer, les croix sculptées sur les pierres de réemploi.
Au pont prenez à gauche la D184. Soyez prudent.
Vous remarquez le balisage du sentier d’Aume.
Prenez à droite jusqu’aux Petits Essarts, en bord de Charente. Présence d’une frayère à brochets. Très bel endroit pour pique-niquer.
Vous abordez alors le Bois de Vergnette ; vous empruntez le chemin de droite ombragé, très agréable et qui longe le muret du château de Vergnette.
Au bout de l’allée, le Chalet de Vergnette. Traversez la D739 en étant très prudent puis prenez à droite. À la croix, prenez à gauche pour gagner la
forêt de Fouqueure.
À la croix de mission (la Croix Rouge), haltede passage sur la route de Saint-Jacques-de- Compostelle, vous pouvez suivre le balisagevers la droite ou revenir directement auvillage en prenant le chemin de gauche. Très beau point de vue sur la forêt d’un côté et levillage de l’autre. La descente vers le village se fait par la rue de la Grue. Vous prendrez ensuite la rue derrière le Chai pour découvrir le bourg ancien et seshabitations, notamment des maisons à balet.
Le chevet de l’église St-Etienne vous propose un espace enherbé pour vous reposer. Ils’agissait de l’emplacement de l’ancien cimetière dont vous apercevez quelques pierres tombales.
À l’arrière trône le Logis de Palliée du XVe siècle (privé).
L’église paroissiale St-Etienne fut construite au XIIe siècle.
Découvrez la commune de Xambes hors des sentiers battus
Se munir d'un téléphone si vous souhaitez prendre le parcours au départ en photo.
Xambes, une halte pour flâner
Ce village ancré sur le plateau calcaire, ancien territoire de vignes, possède un bâti vernaculaire construit avec la pierre emblématique du territoire : le moellon. Prenez quelques minutes et déambulez dans les rues et venelles où vous pourrez découvrir l’église du XIIe-XVe siècles et son puits des miracles, la porte de l’An 2000, le lavoir...
La commune, avec quelques habitants, s’investit depuis de nombreuses années pour embellir et fleurir les rues. Aujourd’hui avec les enjeux d’économie d’eau et de préservation de l’environnement, elle a fait le choix d’utiliser principalement des végétaux durables tels que vivaces, arbustes et bulbes. Cette démarche a favorisé le retour de certaines espèces animales à l’intérieur du village (salamandres, grenouilles...).
L'église Notre-Dame de Xambes est mentionnée dès 988, lors de la restitution de cette église par le comte d'Angoulême, Guillaume IV Taillefer, à l'Abbaye de Saint-Amant-De-Boixe.
Le fait majeur est qu'en 1160, on découvre dans un puit à proximité les reliques de St Vincent et Ste Marie-Madeleine qui va donner lieu au pèlerinage régional important ("puits des miracles", situé sur le flan sud de l'église.)
Cette église prieurale ne se composait à l'époque romane que d'une nef et d'un chevet semi-circulaire. Le clocher porche n'et venu qu'au XVème siècle. Le plus impressionnant reste son chevet, très massif, éclairé seulement par quelques petites baies. Sur le mur nord, à l'extérieur, on distingue un placard et une porte, vestige, de l'emplacement de l'ancienne habitation du prieur. La nef, à la charge des paroissiens, a été reprise et restaurées de nombreuses fois, parfois avec les moyens du bord. Le cœur, lui, était à la charge du prieur.
À l'intérieur, dans la nef, deux colonnes surmontées de chapiteaux sculptés témoignent de la présence d'une voûte au XIIème siècle. Enfin, le cœur vaste et dont l'entrée a été depuis rétrécie, a reçu un série d'arcade au début du XIIIème siècle.