PLAN IGN
Outdoor
Vous voilà prêt à attaquer les routes et cols empruntés régulièrement par les coureurs du Tour de France – là où ont eu lieu des combat inoubliables, des défaillances, des attaques de légende….
Circuit de randonnée faite le 11 février 2024
C'est une promenade taillée pour tous et toutes au départ du bourg.
L'itinéraire emmène des rivages de la baie au départ jusqu'aux cultures sur le plateau de la pointe de l'Armorique de Plestin.
Cette boucle est l'un des nombreux parcours de détente possibles sur la commune.
Les marcheurs apprécieront la rupture franche du bâti à la nature préservé par la commune de Plestin les Grèves.
Le parcours de la petite randonnée propose un coté mer avec les grands classiques dans un premier temps puis c'est une excursion dans l’expansion immobilière à partir des années 70 et les champs préservés de la pointe de l'Armorique en déambulant par des sentiers et des chemins de terre.
Le retour au point de départ se fait par un des premiers lotissements où s'entremêlent les anciennes bâtisses et les constructions du premier cercle pavillonnaire de la fin du XXieme.
Cette boucle terre et mer sans aucune difficulté, sera la promenade d'entretien ou dominicale par excellence dès le retour des beaux jours.
+ Information, galerie de photos en suivant le lien : tinyurl.com/33zxc4wz
PLAN IGN
PHOTOS AERIENNES / IGN
CARTE DES PENTES (PLAN IGN)
La plus vieille référence cartographique de l'existence de ce port date de 1634.
Le volume du commerce maritime, la pêche y vit l'affectation une brigade des douanes à la révolution.
Le débarcadère fut réceptionné en janvier 1848.
L'activité du port de cabotage va décliner jusqu'à disparaitre à la moitié du XXieme siècle.
La vase et le sable s'empare de ce qui fut jadis une source d'activité commerciale majeure pour le canton.
Ce port est devenu un port de plaisance à échouage apprécié par les plaisanciers et les locaux malgré ses contraintes d'accès.
- Il est vivement déconseillé de s'aventurer sur les bancs de sable découverts à marée basse. Le court fluctuant du Douron les transforme en sable mouvants à ses abords.
+ plus d'information en suivant les liens :
L'historique du port et de son débarcadère vous est proposé dans les dossiers sur le site de l'inventaire du patrimoine culturel de la région Bretagne.
Lire le dossier du port (2004) en cliquant sur tinyurl.com/ymr9pn4r
Le dossier (2004) du débarcadère c'est avec le lien tinyurl.com/yc3e7a8r
En raison d’un éboulement, un arrêté municipal a été pris le 27 février 2024.
Il interdit jusqu’à nouvel ordre l’accès au GR 34 et la circulation entre le quai de Toul an Héry et les Thermes du Hogolo, à Plestin-les-Grèves.
En attendant la fin des travaux de consolidation, le contournement se fait par la route de la corniche.
Ce petit patrimoine est caché aux regards du public.
Ce lavoir fut reconstruit plus amont lors de l’aménagement de la place en 1970.
Le cadastre de 1848 montre que la place n'existait pas à l'époque. La marée haute arrivait à quelques mètres des maisons.
Le lavoir initial n'est donc apparu qu'après 1848.
Selon des archives photographiques du début du XXième siècle, il était en lieu et place du massif du rond point.
L'accès au lavoir se fait par la porte en bois.
A noter le débit du fleuve côtier de Coat-Caric qui alimente ce lavoir, cours d'eau qui termine sa course à 100 mètres de là pour se jeter dans l'anse de Toul an Héry en passant sous les massifs.
Traverser la route.
Tout droit.
Emprunter le petit sentier qui longe la clôture du pavillon.
Ce chemin un peu oublié serpente en bordure des limites des propriétés.
Chapelle datant du 16ème siècle, restaurée en 1732 (d'après inscription).
Le clocheton date de l'année 1609 (porte la date). Sainte-Barbe fut la chapelle des garde-côtes dont les batteries défendirent le port de Toul an Héry contre l'envahisseur anglais, de la fin du 16ème siècle jusqu'à l'époque napoléonienne.
Elle servit même de caserne en l'an IV.
Après la Révolution, la chapelle Sainte-Barbe fut entretenue régulièrement par Jacob, ancien patron des douanes de Toul an Héry, dont les deux fils, Yves et Joseph, continuèrent comme responsables de la fabrique, à conserver l'édifice pieusement.
Elle appartenait, selon René Couffon, à l’hôpital de Morlaix à la Révolution et fut vendue comme bien national, puis donnée à la fabrique le 7 décembre 1823.
L'édifice est inscrit sur l'inventaire supplémentaire des Monuments Historiques depuis le 9 octobre 1934.
Elle conserve, à droite du porche, la borne-tronc ou pilier qui portait le coffre à offrandes.
(source: Inventaire Général du patrimoine culturel - patrimoine.bzh - lire la suite : tinyurl.com/5xhtwf89 )
Ces vestiges gallo-romains sont l'une des pépites touristiques de la commune.
Proche du port de Toul an Héry, le bâtiment thermal du Hogolo a été identifié dès 1892 et partiellement fouillé par l'historien plestinais, Joseph Pérès, en 1938, et pendant la période 1939-1945
Il a été exceptionnellement conservé pendant près de 15 siècles par une dune poussée par les vents de 2 mètres d'épaisseur.
+ Lire la suite de cette histoire sur le site du patrimoine de la Région Bretagne en suivant le lien : tinyurl.com/mwbzctjm
Ce lavoir est de ces infrastructures typiques encore préservées sur la commune.
Ces constructions que l'on trouvaient à proximité des fermes ou du moindre hameau de la campagne en périphérie des bourgs, étaient traditionnellement accompagnées d'une fontaine et d'un abreuvoir.