PLAN IGN
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Vous souhaitez changer vos escapades à vélo, sortir des itinéraires de plaine et vous lancer dans l’ascension de cols de montagne. Vous n’avez que l’embarras du choix, tous plus beaux les uns que les autres, le cyclotouriste que vous êtes ne pourra qu’apprécier ces parcours.
Découvrez ces cols de légende, venez parcourir des itinéraires grandioses. Ces circuits sont uniques et il est certain qu’ils ne vous laisseront pas insensibles et resteront longtemps dans vos mémoires…
Partez à la découverte du jolie petit village de Vienne en Val au travers d'anciennes cartes postales qui retracent l'histoire du village avec 11 panneaux explicatifs. De quoi passer un bon moment avec ses proches !
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PHOTOS AERIENNES / IGN
CARTE DES PENTES (PLAN IGN)
En 1970, un garagiste souhaitait déplacer ses locaux. En préparant les fondations du nouveau bâtiment, il fit une découverte incroyable : un puits gallo-romain de 2,50 m de profondeur rempli de poteries, visible actuellement au musée lapidaire.
À l'arrière de la mairie se situait l'école des garçons, bâtie au milieu du 19e siècle. La construction de cet établissement avait été rendu possible grâce aux dons récoltés (de 3 000 francs de l'époque) réalisé par Louis-Didier Jousselin, ingénieur habitant à Vienne en Val. L-D Jousselin fait partie des 72 savants et ingénieurs dont le nom est inscrit au premier étage de la Tour Eiffel.
Le 15 mai 1968 une pelle mécanique mis à jour un trésor gallo-romain : stèles, statues, poteries. Les fouilles archéologiques sont visibles devant l'église. Les objets, eux, sont conservés au musée lapidaire.
Imaginez 4 moulins à vent et 2 à eau sur la commune, tous démolis au début des années 1900 (condamnés par la législation qui les jugeait dangereux à promité des routes et par la concurrence des minoteries). Le moulin "Juranville" datait de 1788.
Découvrez les vestiges gallo-romains : sculptures monumentales, pierres taillées, et de nombreuses poteries. A ne pas rater , la stèle aux 4 divinités. Réservez votre visite, le musée est ouvert uniquement sur rendez-vous.
Entre les deux guerres, on dénombrait une soixantaine de commerçant et artisans dans Vienne-en-Val : une épicerie qui faisait également des tournées en campagne avec une voiture à cheval, une marchande de fromages, un maçon et un charron. On raconte qu'il existait aussi l'annexe de l'hôtel du village, équipée de chambres, d'un bar et d'un billard. Vivant n'est ce pas ?
L'ancien cimetière qui entourait l'église médiévale a été déplacé à l'est du village en 1840. Après le transfert du lieu, par respect pour les sépultures, il était interdit aux Viennois d'y faire paître les animaux et d'y entreposer du matériel.
Le panneau montre la cohabitation des deux églises de 1903 et 1905. L'église médiévale fut détruite en 1905. En 1968, les fondations d'une église du 5e siècle sont découvertes.
L'école des filles a été construite à cet emplacement en 1866, le préfet ayant refusé son installation à l'emplacement de l'ancien cimetière.
Ouverte en 1906, la première ligne du tramway d'Orléans à Isdes dut progressivement laisser place à l'automobile vers 1935.
Autrefois situé face à l'église, sur la place du village, il est actuellement dans la rue de l'ancienne gare.
Ici, se trouvait l'hôtel du cygne disposant d'une cour pour attelages et d'une salle de bal. Un bar-tabac, pompe à essence, vendait également des machines à coudre. La première automobile du village était une Phaéton Mors appartenant, au Baron Gourgaud, maire de Vienne-en-Val en 1884.
Peu coûteux, le transport en voiture à chien était très utilisé au début du 20e siècle. Il disparut peu à peu pour laisser place à la bicyclette. Les boulangers et les facteurs utilisaient couramment la voiture à chien. À découvrir au musée de l'artisanat rural ancien de Tigy.