PLAN IGN
Outdoor
Vous souhaitez changer vos escapades à vélo, sortir des itinéraires de plaine et vous lancer dans l’ascension de cols de montagne. Vous n’avez que l’embarras du choix, tous plus beaux les uns que les autres, le cyclotouriste que vous êtes ne pourra qu’apprécier ces parcours.
Découvrez ces cols de légende, venez parcourir des itinéraires grandioses. Ces circuits sont uniques et il est certain qu’ils ne vous laisseront pas insensibles et resteront longtemps dans vos mémoires…
PLAN IGN
PHOTOS AERIENNES / IGN
CARTE DES PENTES (PLAN IGN)
Situé en Alsace, au cœur de la Route des Vins, à quelques kilomètres de Colmar et de Strasbourg, le UGolf d’Ammerschwihr (68) vous propose de vivre des moments intenses dans un cadre exceptionnel entre vignes et forêts.
HISTORIQUE
Il a été construit par Robert Berthet en 1990.
Datant du XIXè siècle, la chapelle Saint-Wendelin tient son nom de l'ancien abbé de Tholey : Saint Wendelin souvent représenté en berger. De style néo-gothique, elle possède une nef unique, une rosace dans le choeur et une statue de la vierge couverte d'un dais. Cette chapelle est située sur la route du golf.
L'une des plus anciennes portes d'Ammerschwihr, dite Obertor (Porte haute). Tour d'environ 20 m de hauteur, surmontée d'une haute toiture. Construction renforcée par des contreforts et par des chaînes d'angles. Sa partie supérieure est construite en pans de bois. Vers l'extérieur de la ville est disposé un arc brisé, tandis que vers l'intérieur, il s'agit d'une arcade cintrée. Sur ces deux faces, se trouvent des cadrans solaires. Cette tour semble appartenir à la première moitié du XIVe siècle.
Congtruilte en I560 parle taileurde pierre-sculpteurdAmmerschwlhrWolf.schrapp.la statue represente unhomme.debout
tenant dans une main un.@cu auxarmes dela vlle etdelautre.un.cep.devigne.Endommagees en i94d etparles ouitrages
dutemps.la statue etla colonne ont ete remplacees.en mars 1977 parune copie du sculpteurcolmarien fred@rc schicke
Loriginal. endommage. en gres jaune est abrite alhotel de vile.Cete hgure myhique puise ses sources.conjointement
dans le folklore paysan, la naissance de la nation allemande et la découverte du Nouveau Monde.
Déplacée et reconstruite en 1838 pour faciliter la circulation sud-nord, cette fontaine est ornée d'une colonne indicatrice de méridien. Un violent incendie en 1904 à détruit plusieurs maisons aux alentours. La fontaine est alimentée par une source située près du Meywhir
Tour, ronde, de l'ancienne enceinte fortifiée de la ville, dite Schelmenturm (Tour des voleurs). Sa construction pourrait remonter au commencement du XIVe siècle, époque de la fortification de la ville ; mais, de toute manière, elle doit sont aspect actuel à un remaniement du XVIe siècle. Elle se compose de trois étages. Les deux étages inférieurs comprennent des embrasures à bossages. Au 3ème étage se trouvent deux cadrans solaires, restaurés en 1905.
Ammerschwihr a été incendiée par les bombardements de décembre 1944 et janvier 1945 lors de la bataille d'Alsace. 85 % du village a été détruit lors de la Libération par les troupes françaises et américaines. L'hôtel de ville, les vieilles maisons de la place du Marché et de la Grand'Rue furent détruits. Seules l'église Saint-Martin, relativement épargnée, la porte haute et deux tours des fortifications1 témoignent encore de l'intérêt pittoresque qu'offrait jadis cette petite ville si éprouvée lors de la Seconde Guerre mondiale2.
L'édifice fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis 19463.
La Tour des fripons ou Tour des Voleurs "Diebsturm" fait partie des fortifications du XVe siècle. Elle se situe à l'angle Nord-Est et Nord des remparts de la cité médiévale de Kientzheim. De forme ronde, la Tour des fripons est surmontée d'un parapet crénelé et ceinturée d'une belle frise lombarde; la porte d'entrée donne sur la courtine. cette tour servait également de prison, d'où son nom Tour des Voleurs. La Tour des fripons de Kientzheim est classée aux Monuments Historiques depuis 1988, comme l'ensemble des remparts.
Eglise paroissiale , agrandie et restaurée en XVIIIe s.
Maître autel XVIIe s. (Musée historique de Strasbourg) Autels latéraux: à dr, Saint Nicolas, 1724; à g.: autel saint Sébastien , 1728. Dons de paroissiens.
Grandes toiles murales (1725-1730) de François Hillenweg.
Orgue Valentin Rinckenbach 1847. Classé monument historique. En instance de restauration.
Pierres tombales de Lazare de Schwendi , (g) et de son fils Guillaume (dr).Lazare de Schwendi (1522-1583) né en Pays Souabe, fut homme de guerre et diplomate au service de l'empereur Charles Quint, du roi d'Espagne Philippe II qui le fit gouverneur de Philippeville en Belgique. Nommé chef suprême de l'armée impériale il battit les Turcs en Hongrie en 1568 avant de s'installer à Kientzheim.
A voir également: Chapelle du pèlerinage Saint-Félix et Sainte Régule et sa collection exceptionnelle d'ex-voto peints. Promenade des remparts.
Grille en métal possibilités de passé a coter puis escalier bois et terre a monter a pied
Le château remonte au moins au 15e siècle. "Au début du 16e siècle, le bailli des Lupfen, Wolf Sébastien de Reichenstein l'acquit et la fit probablement reconstruire ou remanier2."
"En 1675 la propriété fut acquise par Jean de Boisgauthier, originaire de Touraine. Lui et ses descendants firent agrandir, remanier et mettre au goût du jour le château, vers la fin du 17e et au 18e siècle."2
En 1825, le château changea de propriétaire2.
A la fin du 19e siècle, le gourmet et négociant en vin, Eugène Ley, transforma le rez-de-chaussée de l'aile nord, en cellier2.
Après 1918 le château devint la propriété du baron de Turckheim qui le restaura et en fit une résidence secondaire2.
Après la Seconde Guerre mondiale, la ville acheta le château très endommagé. En 1953, il a été restauré par les architectes Paul Farge et J. D. Riegert. Le château abritait un restaurant et la salle des fêtes de la commune2.
Au cours des années 2007/2008,le poids financier de l’entretien et de sa mise aux normes amena la municipalité à vendre le château à un particulier.
tables de pique-nique, gué aménagé dans le ruisseau pour abreuver les chevaux. Sinon fontaine dans le village et place du lieutenant Dutilh
39 Rue du Général de Gaulle
BP74
68240 Kaysersberg Vignoble
Mon itinéraire
Horaires du standard
Lundi au Samedi : 9h – 12h / 14h – 17h
+33389782278
Château construit au XIIIe s. Imposant donjon de forme cylindrique dont le mur peut atteindre 4 mètres d’épaisseur. Du haut du donjon, vue saisissante sur la vallée de la Weiss, le vignoble environnant et la ville de Kaysersberg.
Le château de Kaysersberg a été érigé peu avant 1227 par le bailli impérial Albin Woelfelin, représentant l’empereur en Alsace, sur des terres qui dépendaient des sires de Ribeaupierre et de Horbourg. A cette date, le roi Henri rachète à ces derniers leurs droits sur ces terres afin de régulariser la construction. Pour le pouvoir impérial, il s’agissait de contrôler un des axes principaux entre la Lorraine et l’Alsace. La ville est d’ailleurs fortifiée peu de temps après la construction du château et ses remparts sont reliés à celui-ci (vers 1264-1268).
Au cours des XIIIe et XIVe siècles, le château et la ville sont pris dans les guerres opposant le pouvoir impérial, l’évêché et la ville de Strasbourg et, en 1444, résistent aux Armagnacs (également appelés Ecorcheurs, mercenaires à la solde du roi français Charles VII qui ravagèrent l’Alsace et la Lorraine après la trêve franco-anglaise de 1444 pendant la guerre de Cent ans). Par contre, à l’occasion de la Guerre des Paysans en 1525, la garnison se rend aux paysans révoltés : ces derniers menaçaient le château depuis la crête où ils avaient mis leurs canons en batterie. En 1583, Lazare de Schwendi, conseiller de l’empereur Charles Quint y entreprend des travaux de construction. Pourtant, le château est mentionné comme étant délabré vers 1600, ce qui ne l’empêche pas de subir plusieurs attaques pendant la Guerre de Trente ans (1618-1648); il est définitivement inhabitable à la fin du conflit. En 1796, il est vendu comme bien national et ses nouveaux possesseurs en détruisent les logis afin d’utiliser le terrain pour cultiver de la vigne.
L’église de Kaysersberg, construite entre 1230 et le 16ème siècle, est dédiée à la Sainte-Croix, dont elle aurait possédé une relique. La légende raconte que l’église fut commandée par l’empereur du Saint-Empire Barberousse. Manquant de moyens financiers pour achever sa construction, il décida de vendre la couronne de son épouse, la reine. Touché par cette pieuse décision, Dieu envoya deux anges pour acheter la couronne, et la remettre ensuite à l’empereur. Ainsi, Barberousse pût reprendre la construction de l’église, et l’achever dans l’année. L’église ayant été fortement remaniée au 15ème siècle, il ne reste aujourd'hui plus beaucoup d’éléments d'origines, excepté peut-être son magnifique portail Ouest, datant du 13ème siècle et de style roman. L’église abrite en son choeur un remarquable retable en bois sculpté par Jean Bongart datant de 1518. C’est devant cette église que l’on retrouve la superbe fontaine de l’empereur Constantin.
L'édifice date du xve siècle. Son ossuaire fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques depuis 19671.
Le pont fortifié de Kaysersberg relie la vieille ville à la ville haute. Il enjambe la Weiss, une rivière longue de 24 kilomètres. Celle-ci prend sa source dans les Vosges près du col du Linge à 845 mètres d’altitude. Au débouché de la vallée de Kaysersberg, elle rejoint la Fecht au nord de Colmar.
Un premier ouvrage en bois permettait de franchir la rivière. Puis, en 1514, fut construit l’actuel pont en pierre. Afin de prévenir toute incursion ennemie par la rivière, on le fortifia.
Il fut ainsi muni, de part et d’autre, de meurtrières et de parapets percés d’archers et de canonnières. Au milieu du pont, côté amont, dans ce qui était peut-être une ancienne échauguette, se trouve un édicule (petite chapelle). Celui-ci abrite une statue polychrome de la Vierge à l’Enfant du 18ème siècle. On y enfermait les habitants responsables de délits mineurs, devenant pour un court laps de temps la risée aux yeux des habitants de la petite ville.
L’édicule est surmonté des armoiries du Saint-Empire romain germanique (à savoir l’aigle à deux têtes) et celles de la ville (une bourse, symbole des marchands).
Ezoic
Toujours côté amont, se trouve une petite niche avec une statuette de saint Jean Népomucène. Ce prêtre martyr (1340-1393) est le patron de tous les hommes qui avaient contact avec l’eau (les bateliers, les pêcheurs) mais aussi des ponts.
Emplacements pour admirer le pont
Pour avoir la meilleure vue du pont fortifié de Kaysersberg, dirigez-vous vers le Badhus. Empruntez l’allée piétonne à gauche du bâtiment.
Du petit mur attenant au 84, rue du Général de Gaulle, on a une vue magnifique sur le pont, le Badhus, la maison du forgeron Michel Herzer et le donjon du château.
La chapelle et la propriété attenante appartenaient jadis à l'abbaye de Pairis, près d'Orbey. Elle fut construite en 1391 grâce à la générosité de Wetzel Berwart, décédé en 1396. Il est enterré dans la chapelle où la pierre tombale est toujours visible. L'édifice est agrandi et consacré une seconde fois en 1473. Pendant la Révolution la chapelle est vendue et achetée par l'ancien régisseur Pierre Eckert. Elle appartient aujourd'hui à la famille Salzmann-Thomann et abrite plusieurs statues polychromes des xviiie et xixe siècles, les pièces maîtresses étant une Vierge à l'Enfant du xive siècle et la crosse de l'abbesse d'Alsace.