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Vous souhaitez changer vos escapades à vélo, sortir des itinéraires de plaine et vous lancer dans l’ascension de cols de montagne. Vous n’avez que l’embarras du choix, tous plus beaux les uns que les autres, le cyclotouriste que vous êtes ne pourra qu’apprécier ces parcours.
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Du centre-ville au "quartier français".
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PHOTOS AERIENNES / IGN
CARTE DES PENTES (PLAN IGN)
L’église Saint-Etienne a été reconstruite au 18ème siècle, après un incendie.À l’origine, c’était la chapelle du collège des Jésuites attenant. L’architecture et notamment la façade de l’église s’inspirent largement du style des églises jésuites baroques de Rome (ex : Gesù, Saint-Ignace de Loyola). L’église devient paroissiale après la destruction de l’ancienne église Saint-Etienne, détruite lors du siège des autrichiens en 1792.
Ce square doit son nom actuel à la statue équestre du maréchal Foch qui se trouve en son centre, au sommet d’un imposant piédestal.L’autre sculpture remarquable, que vous trouvez à l’entrée du square, est celle qui représente L’canchon Dormoire (berceuse) plus connue sous le nom de P’tit Quinquin (petit enfant) : une pauvre dentellière qui chante pour aider son fils à s’endormir – surmontée du buste de son auteur : Alexandre Desrousseaux.C’est une copie, l’original, abimé par le temps, étant été déplacé pour être conservé à l’Hôtel de Ville.
Le quai du Wault est l’un des vestiges les plus visibles de la présence de la rivière (la) Deûle au cœur de Lille.Aujourd’hui la rivière suit son cours au nord de la ville, mais à cet endroit pendant plusieurs siècles, se trouvait le port de la haute Deûle.Par opposition, le port de la basse Deûle se trouvait jusqu’en 1936 au cœur du Vieux-Lille, aujourd’hui avenue du Peuple Belge.Ce quai du Wault était directement relié au canal de la moyenne Deûle, imaginé par Vauban mais concrétisé à une époque plus tardive.
Le jardin Vauban est un jardin à l’anglaise, aménagé en 1870. Initialement nommé jardin de l’Impératrice, ce jardin fait partie des espaces réaménagés après l’extension de la ville en 1858, puisqu’ils ne faisaient désormais plus partie du périmètre défensif de la ville. (Nous sommes en effet à proximité immédiate de la citadelle de Lille).
La citadelle de Lille a été construite de 1667 à 1670 par Vauban, qui la surnommait la « reine des citadelles ». En effet, construite ex-nihilo (aucun bâtiment présent à cet emplacement auparavant), elle est un exemple presque parfait de fortification bastionnée, conçue pour résister aux canons. L’intérieur de la citadelle étant toujours un terrain militaire, elle ne se visite que sur inscription aux visites guidées organisées par l’Office de Tourisme de Lille ou aux Journées Européennes du Patrimoine.En revanche, ses abords constituent le poumon vert de la ville et sont le lieu de promenade et de jogging privilégié des lillois.
L’église Sainte-Catherine fait partie des monuments les plusanciens de la ville. En effet, la paroisse est attestée dès 1273.L’édifice actuel est plus tardif : il a été construit fin 15ème-début 16ème siècle, en style gothique tardif. L’église s’identifie facilement par sa tour en pierre blanche, dont la hauteur permet de l’apercevoir de loin, malgré la densité du tissu urbain environnant.Si l’église est ouverte (habituellement les samedis et jours fériés après-midi), vous pourrez apprécier à l’intérieur les voûtes lambrissées qui sont d’origine. Le mobilier et les œuvres postérieurs à la Révolution sont un peu plus nombreux que ceux réalisés sous l’ancien régime, notamment le buffet d’orgue, le plus ancien de Lille (1644). Le tableau d’autel, de Rubens, est aujourd’hui conservé au Palais des Beaux-Arts.
Cet hôtel particulier, appelé hôtel de Wambrechies, est aujourd’hui le siège de l’archevêché de Lille. Il fait partie des nombreux hôtels particuliers construits le long de la rue Royale et dans les rues adjacentes à partir de la fin du 17ème siècle. En effet, cette rue est l’un des axes qui quadrillent le quartier « français » de Lille. Avant l’arrivée des français, cette partie de l’actuel Vieux-Lille était située à l’extérieur de la ville, c’était la campagne ! Pourquoi élargir la ville à cet endroit ? Pour faire le lien entre la ville existante - qui s’arrêtait alors à l’extrémité sud de la rue Royale - et la Citadelle, nouvellement construite au Nord-Ouest.Ce bâtiment a connu plusieurs vies avant de devenir siège du diocèse : construit pour le seigneur de Wambrechies, il devient siège de l’Intendance de Flandre et d’Artois à la fin du 18ème siècle. Préfecture au milieu 19ème siècle, il abrite à la fin des années 1870 les premiers cours de l’université catholique, avant d’accueillir au début du 20ème siècle les archevêques de Cambrai, puis en 1913 l’évêché de Lille, devenu archevêché en 2008.