Débuter le cyclotourisme

Dominant la vallée de la Laye, le village abrite de magnifiques pigeonniers du XVIe siècle, et notamment celui dit du "curé Martin" à quatre étages et daté de 1553. Jolie vue panoramique vers la montagne de Lure depuis la place.
Comme beaucoup d’autres villages du territoire, Limans est occupé depuis l’antiquité. On y trouve des traces d'éléments datant de l'époque romaine.
Le coeur de village a conservé de nombreux éléments patrimoniaux datant de différentes époques du Moyen-Age (portes décorées, linteaux, vestiges de murailles etc.).
L’église St-Georges du XIVe siècle, classée monument historique depuis 1962, présente de très belles sculptures encastrées datant du XIe et XIIe siècle, ainsi que des objets du culte paléochrétien.
La commune compte également bon nombre de pigeonniers, dont la plupart sont de propriété privée, certains sont restaurés.

¨Parcourez le village à la découverte de ses pigeonniers, de ses maisons anciennes, de la jolie fontaine ou encore de la tour ronde XIIIe siècle (vestige du château) - Ce fut pendant longtemps l'aire de battage communal (sol pavé par bandes).
Sur la place, le bistrot de Limans vous accueille pour un rafraichissement ou un diner aux saveurs locales, avec en prime, une jolie vue sur la montagne de Lure.

À proximité, le hameau des Ybourgues est pittoresque avec son ancien château, et un pigeonnier-tour.

Des sentiers de randonnées à découvrir au départ de la commune :

Le tour de Pâty
Durée : 2h30 - 7 km - 320 m de dénivelé. Balisage rouge & blanc puis jaune
départ devant le monument aux morts.

Des pigeonniers de Limans au hameau des Ybourgues
Durée : 2h30 - 6 km - 338 m de dénivelé - Balisage jaune puis rouge & blanc
Départ devant le monument aux morts

Le plateau de Majargues
Durée : 2h - 5 km - 326m de dénivelé - Balisage jaune puis rouge & blanc
Départ devant le monument aux morts

Pas une ville, plus un village, mieux que ça !
Altitude 550 m, 5100 habitants, sous-préfecture
Pôle d’excellence rurale Pays du livre et de l’écriture.
Pôle de compétitivité Parfums Arômes Senteurs Saveurs
Ici, habitants et visiteurs apprécient une qualité de vie préservée… pas de pub, pas de feux rouges ni d’embouteillages (sauf le lundi matin, jour du grand marché hebdomadaire !), de nombreux services de proximité, des infrastructures adaptées à tous.

Pendant plus d’un siècle, les comtes de Forcalquier en feront la capitale d’un état indépendant avec ses souverains, sa monnaie, ses lois, ses poids et mesures. Revenue à la Provence, Forcalquier sera réunie avec celle-ci au royaume de France en 1481.

Après la Révolution, Forcalquier deviendra sous-préfecture. En 1851, Forcalquier et les Basses-Alpes furent l’un des derniers bastions de résistance au coup d’état de Napoléon III et la répression fut féroce.

La ville des quatre reines
Aux XIIe et XIIIe siècles le comte de Forcalquier, Raymond Bérenger V eut quatre filles qu’il maria toutes à des rois : l’aînée, Marguerite, épousa le roi de France Louis IX (saint Louis) ; la seconde, Éléonore, épousa le roi d’Angleterre Henri III ; la troisième, Sancie, fut mariée au frère d’Henri III, Richard de Cornouailles, qui porta le titre de roi des Romains. Quant à la dernière, Béatrice, elle épousa Charles d’Anjou, frère de Saint Louis et roi de Naples et de Sicile.

Vivre à Forcalquier
A côté de de l’agriculture et de l’élevage, tout un réseau d’entreprises de la filière senteurs/saveurs ont vu le jour.

L’activité touristique y est essentielle et son devenir indissociablement lié aux notions de qualité et de développement durable.

Forcalquier, c’est aussi un centre ancien renaissant qui, à l’ombre fraîche de ses ruelles, fontaines et placettes, accueille cafés, restaurants, commerces, boutiques, ateliers d’artistes et d’artisans d’art.

Au cœur de tout cela, une vie associative foisonnante engendre rencontres, sorties, spectacles, créations de toute sorte, événements sportifs ou culturels… Bref, un pays qui vit toute l’année, qui accueille, crée, transmet et se développe dans un esprit d’équilibre et de partage entre habitants et visiteurs ! Partez à sa découverte !

Le village de Lardiers se situe au cœur des champs de lavande en été à 12 km de Saint-Étienne-les-Orgues, 13 km de Banon, 17 km de Forcalquier.
A l'entrée du village :
- ancien Moulin transformé en gîte d’étape
- grande fontaine ornée d’une tête d’animal évoquant un lion, lieu de pique-nique avec tables et bancs.
- Chapelle Saint-Claude qui date de la fin du XVIIe siècle et fut remaniée au XIXe ; elle jouxte le cimetière.

Dans le village :

- La fontaine, lieu privilégié des nombreux cyclistes pour se rafraîchir après la rude montée, qui s’adosse au lavoir précédé d’une calade récemment rénovée. Ce lavoir présente la particularité unique d’avoir deux niveaux : aussi bien les lavandières pouvaient-elles laver leur linge à genoux puis le rincer debout.

- Place où se trouvent l’église Sainte-Anne et le château ou plutôt la Commanderie. Le porche de l’église est classé : il est flanqué de deux colonnes surmontées de chapiteaux de style carolingien. Dans le parc de la Commanderie, magnifique séquoia formé de deux troncs jumelés.

- Perdez-vous dans les ruelles du vieux village.
Vous pourrez vous restaurer au Café de la Lavande - Chez Mojo, premier Bistrot de Pays créé.

De là vous pourrez descendre jusqu’au quartier des Granges ou remonter la Garouyère : s’y trouvent la salle polyvalente, un terrain de sport et un autre de jeux d’enfants.

La montée de la Garouyère - ancien chemin Saint-Vincent - pourra vous mener, si vous êtes bons marcheurs, jusqu’au Gros Chêne, l’arbre le plus célèbre de Lardiers.

Pour les randonneurs : Le sentier du Bouiron
- Temps : 3 heures
- Dénivelé : 250 m
- Départ : Cimetière
- Randonnée facile

Le village est la porte d'entrée de la montagne de Lure (D113).
Le village est actif, dynamisé par un tissu associatif dense regroupé autour de la médiathèque qui abrite l'une des antennes de l'office de tourisme.
Beaucoup de maisons évoquent l'aisance des anciennes familles d'apothicaires et droguistes : belles portes, linteaux, entablements, génoises... En effet pendant des siècles les villages du piémont de Lure ont vécu de la cueillette, de la transformation et de la vente des plantes médicinales et aromatiques qui fleurissent sur les flancs de Lure.

Le village est actif, dynamisé par un tissu associatif dense regroupé autour de la médiathèque qui abrite l'une des antennes de l'office de tourisme.