Débuter le cyclotourisme

La visite du bourg vous entraînera vers l’Eglise romane du XIIIème siècle et sa châsse. Après avoir remarqué les vestiges gallo-romains situés au square du Dr Roux, vous vous plongerez dans les mystères de la nature en visitant la Maison de l’Arbre (sentier botanique, arboretum, fructicetum, jardin animalier…). Vous pourrez ainsi y pratiquer de nombreux sports tels que l’équitation, la natation, l’accrobranche, le VTT, la randonnée pédestre. À visiter également : le Mont Ceix et sa chapelle.

Dédiée à St Dulcet dont le corps fut transféré en Limousin pour y être enseveli. L'édifice actuel, attesté du XIIème siècle, a subi de nombreuses transformations à la suite de plusieurs incendies (1590, 1818, 1881). Le clocher fut reconstruit en 1660. Seules subsistent de l'édifice ancien la travée du chœur avec ses arcatures latérales et les voussures du portail occidental, à arcatures polylobées. Un Trésor a été aménagé sous son clocher. Parmi les 3 châsses-reliquaires médiévales présentées, la châsse de St Dulcet est la plus remarquable. C'est l'œuvre d'orfèvres limousins du XIIIème siècle, en émail champlevé. A côté du portail, une pierre tombale médiévale est présentée dressée telle une croix monumentale, sur un soubassement.

Bâtie au pied des Monédières, dans les gorges de la Vézère, Treignac est une cité médiévale avec son pont du XIIIème siècle, ses église et chapelles, sa halle aux grains, sa tour panoramique du XVème siècle et ses maisons à colombages.
Elle a obtenu le label "Petites Cités de Caractère" pour son patrimoine architectural et naturel. Cette reconnaissance au niveau national va lui permettre d'entrer dans la cour des grands et de sensibiliser les Treignacois et visiteurs à ce patrimoine exceptionnel et insolite. Le clocher tors de la Chapelle Notre-Dame-de-la-Paix en est un illustre exemple.
Etape appréciée des pèlerins de Compostelle en route sur la Voie de Rocamadour, elle est également réputée pour ses eaux vives qui en font un spot mondial de canoë-kayak (Championnats du monde en 2022).

Signalé en 1492, son architecture permet de penser que l'ouvrage actuel est au moins de cent ans antérieur. Il comporte 3 arches dont la plus petite enjambait un bief permettant l'écoulement de l'eau du moulin, propriété de l'hospice, bâti à l'entrée du pont. Des "retraites" sont ménagées dans les angles pour que les piétons puissent se garer lors du passage des charrettes.

Construite au XIIIème siècle, elle est contemporaine de la ville murée. Elle fut reconstruite en 1484, après le sac de Treignac par Rodrigue de Villandrando (1438). Il venait récupérer les 1000 écus que lui avait empruntés Jean de Comborn. Elle comporte actuellement douze piliers, deux piliers ont été abattus en 1910 en raison des embarras de circulation dans le quartier de Notre Dame de la Paix. La charpente est en châtaignier et elle est couverte en ardoises de Travassac. Sur la droite se trouve un appentis grillagé où étaient enfermés les poids et mesures.