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Débuter le cyclotourisme

C’est le début de saison, vous reprenez le vélo, retrouvez des circuits pour vous aider à la préparation de journées beaucoup plus longues. C’est aussi un moyen de faire connaissance avec notre territoire terre de cyclotourisme.

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Tour du Mont Verjon

Plain Champ
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Plain Champ
Plain Champ
Sentier Mémoire de Pierre
Col de Plain Champ
Plain Champ
Plain Champ - Vue sur la carrière
Tour du Mont Verjon
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Tour du Mont Verjon
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Tour du Mont Verjon
Tour du Mont Verjon
Tour du Mont Verjon
Tour du Mont Verjon
Tour du Mont Verjon
Tour du Mont Verjon
Crédit : scalland

Une ribambelle de villages et hameaux typiques, avec un itinéraire qui permet de longer le pied des contreforts avant de gravir par le sentier « Mémoire de Pierre » les hauteurs du Mont Verjon et de profiter du panorama sur la Bresse.

Informations complémentaires

Période d'ouverture

Toute l'année.

Mis à jour par

Bourg-en-Bresse Destinations - Office de tourisme - 17/01/2024
www.bourgenbressedestinations.fr
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12 km
max. 532 m
min. 216 m
437 m
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PLAN IGN

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PHOTOS AERIENNES / IGN

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CARTES MULTI-ECHELLES / IGN

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TOP 25 IGN

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CARTE DES PENTES (PLAN IGN)

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PARCELLES CADASTRALES

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CARTES AÉRONAUTIQUES OACI

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CARTE 1950 / IGN

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CARTE DE L'ETAT-MAJOR (1820-1866)

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CARTES LITTORALES / SHOM/IGN

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SCAN EXPRESS STANDARD / IGN

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SCAN EXPRESS CLASSIQUE / IGN

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OPEN STREET MAP

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IGN BELGIQUE

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Points d'intérêts à proximité

Point de départ

Place du lavoir 01270 Verjon
Lat : 46.345304Lng : 5.352414
Image du poi

Borne frontière de 1613 - Verjon

A la limite du Jura et de l'Ain, elle fait partie d'une série de bornes frontières posées en 1613, et marquant alors la nouvelle frontière entre le Royaume de France avec la Franche-Comté bourguignonne.
Accès pédestre GR59 :
- Depuis le col de Plain Champ (parking)
- Depuis Dingier

Placer dans un pré non loin du chemin et marque encore aujourd'hui la limite Ain-Jura.

Cette borne fait partie d'une série de bornes frontières posées en 1613, et marquant alors la nouvelle frontière entre le royaume de France (après la prise du Revermont, de la Bresse et Bugey aux États de Savoie par le roi de France) avec le royaume du St Empire Romain Germanique (Franche-Comté). Cela suite aux Traité de Lyon, de 1601, ainsi que celui d'Auxonne, de 1612.

Une frontière d'état est née !

Plusieurs points de vue et panorama sur le parcellaire typique du Revermont. Vestiges de Capettes (cabanes en pierres sèches). Accès au Mont-Myon, à la carrière de Roissiat et à Dingier.

Délimitation avec la Franche-Comté
(voir la Tibériade en illustration : plan en relief)

A découvrir : la délimitation de la Bourgogne et de la Franche-Comté par une tibériade des lieux litigieux vers Coligny (Civria, Chazelles, Saint-Jeand'Etreux, etc.), arrêtée à Saint-Amour, le 21 juillet 1611.

Outre le sort des terres en sursis aux confins septentrionaux des duché et comté de Bourgogne au XVe siècle, le traité du Câteau-Cambrésis entre France et Espagne avait prévu en 1559 que serait aussi réglés à l'amiable d'autres différends sur les limites entre les deux "souverainetés" plus au sud, notamment vers la Bresse. Il fallut toutefois attendre la fin des guerres intestines et extérieures supportées par la France jusque sous Henri IV pour que s'engagent des négociations sur ces litiges frontaliers.

Le 6 juin 1611 débutèrent enfin à Auxonne des conférences entre une députation du Parlement de Dijon, agissant au nom du roi de France, et une députation égale du Parlement de Dole, agissant au nom des archiducs Albert et Isabelle Claire Eugénie, qui gouvernaient alors la Franche-Comté depuis Bruxelles. Les litiges sur toute la zonne frontalière, du Bassigny à la Bresse, furent examinés sur pièces et sur place jusqu'au 15 février 1612, date de la signature d'un traité entre les députés, ratifié le 2 mars par les archiducs et le 3 avril par Louis XIII. D'ultimes ajustements furent encore apportés ensuite pour répondre à des réclamations locales, jusqu'au 20 avril 1613, date à laquelle les députations signèrent la fin du procès verbal de leurs travaux à Auxonne. Les débats sur les lieux contestés aux environs de Coligny se déroulèrent en juillet 1611 et février 1612.

Légende Tibériade (carte ancienne)

A est la Croix Magnin ; B la Croix Gille ; C la Croix Souillart ; D charrière tirant à Belfort ; E chemin tirant au prey des Sauges ; F le prey des Sauges ; G le bief Saubagnaut ; H contrée des Ripes ; I grand chemin tendant de Sainct-Amour à Coligny ; K chasteau de Coligny-le-Viel ; L chasteau de Coligny-le-Neuf dict de Menton et le bourg autour d'icelluy ; M église et maisons estans au communal de Colligny ; N la maison de Guillaume Dojac ; O le lieu apellé Planchan ; P la croix apellée par les députéz du roy "la Croix Brotet" ; Q le lieu où les députéz du roy ont dict que c'estoit la Croix Jean-François et les députéz des archiducz ladicte Croix Brotet ; R le murgier et buisson Ragois ; S la montaigne de Montmyen ; T lieu où estoit le signe partibulaire de Chevignia ; U la Combe-au-Sou ; X le goulet aux Loups ; Y essart faict par ceux de Chevignia

Archives Départementales de la Côte-d'Or, fonds de la Chambre des comptes de Dijon, B 265, procès verbal des commissaires députés en 1611-1613, registre de 245 folios, couverture parchemin frappé à l'or aux armes royales ; plan aquarellé (61x151 cm), le quatrième du registre, primitivement inséré au fol. 96, détaché et restauré en 1997 (Ateliers Quillet, Loix-en-Ré). Sur les lieux concernés par ce plan : dits et contredits des députations, fol. 96v°-112v° et 206-211, article du traité, fol. 224v°-225. Voir aussi : l'exemplaire identique de ce procès verbal conservé dans les archives du Parlement de Dole, Archives Départementales du Doubs, 2 B 412 ; la copie du registre B 265 (complété d'autres documents) faite en 1755 pour les Etats de Bourgogne, Archives Départementales de la Côte-d'Or, C 3527, plan inséré entre fol. 177v° et 178.

01270 Verjon
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Capettes du Revermont

Cette petite région a la particularité d’être parsemée de cabanes en pierres sèches et de gros murgers (vigne, jardin, culture en terrasse).
Capettes ou cabanes en pierres sèches
Sur l'ensemble du premier plateau, l'histoire a modelé, petit à petit, un paysage de pierres sèches, sillonné de murgers dissimulant d'étranges bâtisses. On observe un bocage de pierres sèches, construit avec le temps et qui abrite un riche écosystème; en effet les murs de pierre ont permis à la végétation de se développer sous forme de haies.
Exemple d'architecture rurale, les cabanes sont là, cachées au travers des murs, discrètes, étranges et on les imagine imprégnées de grands secrets.
On les appelle communément « Capettes », "les loges", "les cabordes", les "cabanes de berger". On les retrouve dans tous les communes alentour, au détour d'un chemin ou en bordure d'un champ. Elles sont souvent incluses dans un mur de pierres sèches. Ce type de construction est assez rare dans la partie septentrionale de la France mais on en trouve dans le Lot, le Périgord et le Vaucluse. Les paysans retiraient les pierres de leurs champs et les empilaient pour délimiter leurs parcelles.
L'agriculture a évolué au profit de l'élevage et ce sont les agriculteurs-éleveurs qui ont alors utilisé les cabanes en gardant leurs troupeaux.
Parfois, lorsque les terres étaient éloignées des villages, les paysans aménageaient dans ces murgers une "loge" afin de s'abriter et d'y stocker les outils le temps d'une averse ou d'un repas. De nombreuses cabanes ont été trouvées dans le Jura et le Revermont mais les constructions sont fragiles : ayant perdu leur fonction, elles ne sont plus entretenues et les remembrements en ont fait disparaître en même temps que les murgers qui les abritaient. Ce patrimoine est donc en voie de disparition.
De quand datent les cabanes? Mystère. Très peu d'écrits nous parlent de ces cabanes ou de leur date de construction. Les archéologues ont formulé plusieurs hypothèses : elles pourraient remonter à l'époque gauloise voire néolithique. Certains jugent que le principe de construction en pierres sèches remonte au Moyen Age. D'autres qu'elles dateraient d'une période (XIIème siècle) durant laquelle les cultures étaient la règle sur le premier plateau. Enfin, la supposition la plus avancée est celle des grands défrichements précédents le XIXème siècle.
Seule certitude donc : elles ont au moins 150 à 200 ans.
Les cabanes sont des constructions originales de par leur forme, l'emploi exclusif de pierres plates et fines. Un grand nombre ont une voûte en encorbellement. La base de la cabane est droite puis la voûte est formée par dépassement de la pierre supérieure par rapport à la pierre inférieure. La majorité sont orientées dos au vent dominant. Pour offrir plus de mystère, le sol, la voûte, l'entrée différente de l'une à l'autre. A l'intérieur, des bancs de pierre longent les murs. Suivant la taille, elles peuvent accueillir de 2 à 10 personnes. Les voûtes peuvent être en coupole, droites, en arc brisé, en battière.

01370 Courmangoux
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Château de Verjon

Daté du XIIIe siècle, il surplombe le sud du village. Subsistent de fortes assises, 3 portes avec jambages et voûtes, les soubassements d’une tour ronde et carrée, puits et caves voûtées. Des bâtiments plus récents occupent le site. (Privé)

01270 Verjon
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Col de plain Champ

Le Col de Plain Champ offre un beau point de vue sur les 3 Monts (Mont Myon, Mont Châtel et Montfort). Vous surplombez la carrière de Roissiat : ouvrez bien les yeux et vous apercevrez peut-être des chamois !
Sur la gauche du pré, un arbre a été préservé : "l'arbre des fusillés" est un témoignage de l'Histoire liée à la Résistance.
Ce col au dessus de Chevignat marque la limite naturelle avec le Jura. Borné depuis 1613 (frontière entre France et Comté de Bourgogne), il a accueilli au moyen-âge des pierres patibulaires (gibets).
Vestiges de Capettes (cabanes en pierres sèches).

Parking Pierres du Revermont 01370 Courmangoux
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Eglise de Verjon

Perchée en haut du village, elle est mentionnée en 928. Il est très probable qu’elle était autrefois fortifiée (fenêtres à meneaux, meurtrières, …).

01270 Verjon
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Église et chapelles

Eglise érigée vers le VIe siècle à la place d'un temple gallo-romain dédié à Mercure et Apollon. On peut y voir des fragments de peintures du XIVe- XVIIe siècles. Magnifique point de vue sur la Bresse.
Située sur une hauteur au dessus de Salavre, datée du XIIe siècle, église jusqu’à la révolution, elle remplace un temple gallo-romain. A l’époque médiévale, St Rémi du Mont était une paroisse de la Bresse Savoyarde, les fidèles de Salavre, située en Comté et qui en dépendait, devaient franchir la frontière pour se rendre aux offices. A l’intérieur, les vestiges de fresques datées du XIIIe et XVIIe siècles. Toit de lauzes.
Rens. & Groupe : 06 21 78 34 68
Parking - Belvédère sur la Bresse
A voir : maisons de pierres ocrées très typées et la maison à échauguette (ancien hôpital)

01270 Salavre
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Gibet du Col de plain Champ

Col au dessus de Chevignat, limite naturelle avec le Jura, borné depuis 1613 (frontière entre France et Comté de Bourgogne) a accueilli au moyen-âge des pierres patibulaires (gibet). Aujourd'hui, seuls vestiges quelques pierres de taille
Col au dessus de Chevignat, limite naturelle avec le Jura, borné depuis 1613 (frontière entre France et Comté de Bourgogne) a accueilli au moyen-âge des pierres patibulaires (gibet).
Plusieurs points de vue et panorama sur le parcellaire typique du Revermont. Vestiges de Capettes (cabanes en pierres sèches). Accès au Mont-Myon, à la carrière de Roissiat et à Dingier

Borne frontière : La borne fait partie d'une série de bornes frontières posées en 16132, et marquant alors la nouvelle frontière entre le Royaume de France (après la prise de la Bresse, du Revermont et du Bugey aux États de Savoie par les troupes du roi de France) avec la Franche-Comté bourguignonne. Cela suite aux Traité de Lyon, de 1601, ainsi que celui d'Auxonne, de 1612.

Les fourches patibulaires (historique)

Les fourches patibulaires étaient un gibet constitué de deux colonnes de pierres ou plus sur lesquelles reposait une traverse de bois horizontale. Placées en hauteur et bien en vue du principal chemin public, elles signalaient le siège d'une haute justice et le nombre de colonnes de pierre indiquait le titre de son titulaire.

Les condamnés à mort étaient pendus à la traverse de bois et leurs corps étaient laissés sur le gibet pour être exposés à la vue des passants et dévorés par les corneilles (corbeaux, selon plusieurs chansons).

L’expression fourches patibulaires s’écrit habituellement au pluriel bien qu’on la retrouve parfois au singulier.

L'origine du terme de fourches patibulaires remonte aux temps des Romains qui après avoir dépouillé le condamné à mort de tous ses habits lui faisait passer la tête dans une fourche et son corps attaché au même morceau de bois était battu à coup de verges jusqu'à ce que le condamné mourût de ses souffrances.

Les fourches patibulaires étaient en général placées sur une hauteur, hors des villes, bourgs et villages, et ordinairement près d'un grand chemin et dans un lieu bien exposé à la vue des voyageurs afin d'inspirer au peuple l'horreur du crime.

Malgré le caractère macabre de ces constructions et la mauvaise odeur qui s’en dégageait, le voisinage des fourches patibulaires était souvent garni de cabarets, car les pendaisons étaient un spectacle très couru au Moyen Âge.

Le nombre des piliers de justice des fourches patibulaires variait suivant la qualité des seigneurs qui les construisaient : seul le roi pouvait en avoir autant qu’il voulait, les ducs en avaient huit, les comtes six, les barons quatre, les châtelains trois et les simples gentilshommes hauts justiciers deux. Tout haut justicier devait posséder des fourches patibulaires qui manifestaient son pouvoir de justice.

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Les chamois du Revermont

Les chamois se plaisent dans la petite montagne du Revermont

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Village de Verjon

Du « vieux » Verjon, il ne reste que quatre maisons après l’incendie par les Allemands de juillet 1944.
A voir : Pont et roue à aubes sur le Solnan qui entraînait autrefois une pompe servant à remonter l’eau en haut du village. Lavoir communal (1907). Pont du lavoir, Moulin Planche ou de la Source.

01270 Verjon
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