Débuter le cyclotourisme

Jardin public, balançoires, toboggan.

Aire pique nique, pêche, aire de jeux, barbecue.

Principale source d’eau potable du village, la fontaine fut des siècles durant,
le lieu où se racontaient les potins de la vie courante : son lavoir rassemblait
plusieurs fois par semaine les lavandières « Nervirottes ».
Le lavoir a été rénové en 2006. Pour accéder au lavoir, les lavandières descendaient le sentier pentu avec leurs brouettes et le linge sale placé dans des balles, de grandes corbeilles en osier. Agenouillées sur leurs planches à laver au bord du lavoir, elles frottaient le linge au savon noir, le brossaient, le tapaient
avec le battoir puis l’essoraient en le tordant.
Le linge le plus sale était souvent mis à tremper la veille dans des bacs
avec de la lessive à la cendre de bois.
Pour remonter la pente avec le linge mouillé qui pesait lourd dans la brouette, il fallait souvent s’entraider en tirant le chargement avec une corde.

Cette chapelle romane, construite en 1820, puis restaurée en 1868, remplace une chapelle plus ancienne située tout près, de l’autre côté de la route de St-Georges. Cet édifice renfermait les reliques de saint Austrégésile qui disparurent à la Révolution
Il existait, dans un temps très ancien, un petit château à cet emplacement. Après avoir appartenu aux Pagans, les seigneurs de Nervieux, il devient la propriété des Veroil ou Vernin au XIIIe siècle puis des Mespin de Sourd.
La chapelle primitive était située dans l’enceinte du château, pour lequel Jean Veroil rendit hommage au Comte du Forez en 1322. Une alliance le porte au
XVe siècle dans la famille Du Chier puis des D’Urfé. Il fut rasé de fond en comble. Tous les ans, pour la célèbre « foire aux amandes » du 20 mai, créée en 1516, les pèlerins venaient prier saint Austrégésile, pour la protection des récoltes et du bétail.
L'édifice est privé.

2 lignes montées sur cannes et munies chacune de 2 hameçons ou 2 cannes avec moulinet.