PLAN IGN
Outdoor
C’est le début de saison, vous reprenez le vélo, retrouvez des circuits pour vous aider à la préparation de journées beaucoup plus longues. C’est aussi un moyen de faire connaissance avec notre territoire terre de cyclotourisme.
Une randonnée faite le 24 janvier 2024.
La boucle de randonnée est au départ de Plestin les Grèves.
Il y a quelques belles vues sur la vallée du Douron au départ.
Le circuit chemine dans la périphérie de Locquirec puis par les chemins dans les vallées de Guimaëc après avoir traversé le Douron à Toul an Hery.
Le parcours passe par la Chapelle des Joies avant de replonger vers la vallée du Douron pour rejoindre le point de départ par la rive droite.
C'est une petite randonnée ouverte à toutes et tous car la progression est facile sur ce parcours à faibles dénivelés.
► Ce circuit emprunte des portions de chemins de promenades balisés mais il ne l'est pas en temps que tel ◄
- L'import de la trace GPX et/ou une édition de la carte est vivement conseillé.
- Ce test de parcours c'est fait dans les conditions météorologiques hivernales comme en témoigne les photographies. Les chemins de terre étaient gras et les ruisseaux gorgés. Néanmoins, il en reste que c'est une boucle de promenade qui prendra de la valeur dès les premiers beaux jours.
- Pas moins de trois tables couvertes sont disposées sur le circuit pour une pause abritée ou un pique-nique.
- Nombreuses possibilités d'allonger le parcours avec d'autres boucles et circuits de randonnées balisés.
PLAN IGN
PHOTOS AERIENNES / IGN
CARTE DES PENTES (PLAN IGN)
La plus vieille référence cartographique de l'existence de ce port date de 1634.
Le volume du commerce maritime, la pêche y vit l'affectation une brigade des douanes à la révolution.
Le débarcadère fut réceptionné en janvier 1848.
L'activité du port de cabotage va décliner jusqu'à disparaitre à la moitié du XXieme siècle.
La vase et le sable s'empare de ce qui fut jadis une source d'activité commerciale majeure pour le canton.
Ce port est devenu un port de plaisance à échouage apprécié par les plaisanciers et les locaux malgré ses contraintes d'accès.
- Il est vivement déconseillé de s'aventurer sur les bancs de sable découverts à marée basse. Le court fluctuant du Douron les transforme en sable mouvants à ses abords.
+ plus d'information en suivant les liens :
L'historique du port et de son débarcadère vous est proposé dans les dossiers sur le site de l'inventaire du patrimoine culturel de la région Bretagne.
Lire le dossier du port (2004) en cliquant sur tinyurl.com/ymr9pn4r
Le dossier (2004) du débarcadère c'est avec le lien tinyurl.com/yc3e7a8r
S'engager dans le chemin entre les talus sur la gauche (balise jaune) pour rejoindre Trao Melin
Prendre le chemin creux sur la gauche à la lisière du bois. (balise jaune sur un tronc d'arbre)
Ce sentier débouche à la station de pompage. Prendre alors sur la droite et poursuivre sur le chemin qui longe le ruisseau à travers le bois.
Chapelle du XVème siècle.
Abrite un des rares chancels de Bretagne avec ses colonnes doublement torsadées et découpées dans une même pièce de bois, ses médaillons ouvragés représentant des motifs variés d'animaux ou de personnages.
À découvrir aussi, des peintures des 16ème et 17ème siècles inspirées de grands noms comme Raphaël ou Nicolas Poussin.
Visite pour les groupes : contacter la mairie de Guimaëc
La jonction Kermelven - Pen ar Guer par un chemin de terre bien qu'indiqué sur les cartes IGN, n'est pas possible car ces derniers sont envahis par des ronciers.
La portion de route de 1,5 kilométrés qui est a utiliser en contournement est fréquentée.
Les vitesses y sont souvent excessives.
► Restez attentifs et redoublez de vigilance ◄
La fontaine de dévotion Saint-Haran, datée probablement du 19ème siècle, est complètement abandonnée en amont du Douron, dans un petit marais littoral.
Elle alimente un lavoir recouvert par la végétation et la marée.
Cette fontaine est liée à la chapelle Saint-Haran, située un peu plus haut, sur la route menant au Douron.
Une légende recueillie par Désiré Lucas raconte qu'une sirène fut trouvée dans la fontaine où elle s'était perdue. Quelqu'un la prit dans ses bras et la mena vers la chapelle. Haran, comme son compagnon Eversin, représenté dans la chapelle en costume épiscopal, invitait les pèlerins à boire l'eau de sa source pour guérir les maux de tête.
Les lundis du mois de mai, les femmes y menaient leurs enfants qui tardaient à marcher.
(source: Inventaire Général du patrimoine culturel - patrimoine.bzh : tinyurl.com/3whsxc6t )
Le site comprenant la fontaine, le lavoir et le routoir à lin a été restauré en 2012. Une table de pic-nic abritée a été installée.
L'actuelle chapelle Saint-Haran fut construite en 1713 (porte la date) à l'emplacement d'une chapelle déclarée en ruine en 1703, dont l'évêque de Tréguier autorisa la reconstruction en 1706 (d'après René Couffon). Elle fut vendue à Yves Thomas le 29 octobre 1806 puis donnée à la fabrique le 5 juin 1816. Selon René Couffon l'acte de donation signalait la présence d'un cimetière autour de la chapelle.
Chapelle de plan rectangulaire, à vaisseau unique et chevet plat aveugle, construite en schiste et en granite. Deux inscriptions figurent à la base du clocheton couronnant le pignon occidental : la première inscription située à gauche est illisible, la seconde mentionne la date de construciton de l'édifice (1713).
(source: Inventaire Général du patrimoine culturel - patrimoine.bzh : tinyurl.com/3k6h9bmu )
Un point de vue permet d’apprécier le fleuve côtier dans son lit
Petite fontaine avec une casquette.
Le lavoir se situe au numéro 16 (propriété privée).