Outdoor

Débuter le cyclotourisme

C’est le début de saison, vous reprenez le vélo, retrouvez des circuits pour vous aider à la préparation de journées beaucoup plus longues. C’est aussi un moyen de faire connaissance avec notre territoire terre de cyclotourisme.

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Circuit VTT n°5 (vert) - Forêt de la Rousse - Bois de Valuisant

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Crédit : Sébastien Tournier

Forêt royale de la Rousse
Une forêt royale en décor pour une petite sortie vélo. De belles allées cavalières à l’abri d’arbres grandioses au cœur de la vallée du Suran.

Prendre derrière la salle des fêtes. Passer devant le cimetière, à l’intersection prendre à gauche en direction de la Rousse. Prendre à droite la route de Bourg sur quelques mètres et à gauche l’allée forestière. A la lisière à gauche et la route forestière à gauche pour revenir sur la route de Bourg. Traverser là et continuer sur l’allée forestière. Sous la ligne EDF, prendre à gauche. Prendre le chemin à gauche avant la lisière et retour sur Simandre.

Sur place : restaurants, camping, hôtel, épicerie, fromagerie, aire de pique-nique, randonnée… .

Informations complémentaires

Période d'ouverture

Toute l'année.

Mis à jour par

Bourg-en-Bresse Destinations - Office de tourisme - 08/12/2023
www.bourgenbressedestinations.fr
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1 h 15 mn
Très facile
10 km
max. 335 m
min. 300 m
102 m
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PLAN IGN

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PHOTOS AERIENNES / IGN

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CARTES MULTI-ECHELLES / IGN

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TOP 25 IGN

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CARTE DES PENTES (PLAN IGN)

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PARCELLES CADASTRALES

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CARTES AÉRONAUTIQUES OACI

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CARTE 1950 / IGN

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CARTE DE L'ETAT-MAJOR (1820-1866)

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CARTES LITTORALES / SHOM/IGN

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SCAN EXPRESS STANDARD / IGN

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SCAN EXPRESS CLASSIQUE / IGN

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OPEN STREET MAP

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GOOGLE MAP - SATELLITE

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GOOGLE MAP - PLAN

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GOOGLE MAP - HYBRIDE

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IGN BELGIQUE

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Circuits à proximité
Points d'intérêts à proximité

Point de départ

Stade municipal Rue de la Gare 01250 Simandre-sur-Suran
Lat : 46.220953Lng : 5.421109
Image du poi

Base VTT Espace Revermont

Base VTT Espace Revermont labélisée Fédération Française Vélo.
Rendez-vous, au cœur des montagnes du Revermont.
8 circuits, 2 liaisons balisées de 4 à 32 km.
Avec son relief vallonné, ses paysages sauvages et sa nature revigorante, le Revermont est une belle destination pour des vététistes et amoureux du guidon.
Le Revermont, une terre de montagne.
Ses pentes ensoleillées tranchent radicalement avec les matins brumeux du bocage bressan. Il se positionne comme un belvédère privilégié en laissant apercevoir le Mâconnais, jusqu’aux monts du Lyonnais, du Jura et des Alpes.
Préparer vos sorties au grès de vos désirs… descentes, faux plats et montés s’enchaînent à bon rythme.
Traverser des vallons sauvages, humides ou la mousse sur les arbres est
omniprésente. Le décor est surprenant. Jouer avec les montagnes du Revermont et parcourir sur les plateaux, de jolis single track qui alternent entre forêts, prairies, pelouses sèches, coteaux et crêtes. Longer les rives du Suran ou sillonner les ruelles de villages de caractère.
Du haut de ses 660 m, le Mont Myon est probablement le symbole le plus recherché.
Classé parmi les sites naturels remarquables, il reste un objectif pour de nombreux randonneurs.

2 départs : Base de loisirs de la Grange du Pin à Cuisiat (Val Revermont) et Stade à Simandre sur Suran
4 niveaux / 150 km balisés / Label VTT FFCT

Parcours :
Base de loisirs
- Tour du Plan d’eau 3,7 km / 0h30
- Mont Myon 28,6 km / 4h00
- Au pied des trois monts 7,9 km / 1h00
- Treffort Cité médiévale 11,5 km / 1h30
- Meillonnas-Treffort-Cuisiat 32,3 km / 4h00
Stade de Simandre
- Forêt de la Rousse / Bois de Valuisant 10,4 km / 1h15
- Chavannes / Simandre 14,8 km / 1h45
- Drom/Villereversure 27 km / 3h15
Liaisons
- De St Etienne du Bois à la Grange du Pin 7,5 km / 1h00
- De Treffort à Simandre-sur-Suran 10,1 km/ 1h30

330 chemin de la La Grange du Pin 01370 Val-Revermont
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Borne milliaire

Après la conquête romaine de la Gaule, les romains tracent le long du Suran, une voie vers la Germagnie (RD 42). Ces voies étaient ponctuées de bornes (distance entre chaque borne 1 mille romain). La dernière de la vallée se trouve à Lassera (Germagnat)
Après la conquête romaine de la Gaule, la vallée du Suran bénéficia de la proximité de Lyon, d’où partaient les routes commerciales et les légions vers la Germanie. Le tracé de cette voie suit à peu près la RD 42.
Les colons romains y fondèrent de grands domaines prospères.

Ces voies étaient ponctuées de bornes (distance entre chaque borne 1 mille romain). La dernière de la vallée se trouve à Lassera (Germagnat)

Germagnat 01250 Nivigne et Suran
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Chartreuse de Sélignac

Depuis 1211 et jusqu’en 2001, des moines vécurent à Sélignac. Respecter les lieux. Depuis les ruines du Château d’Arnans panorama sur la Chartreuse de Sélignac. Accès pédestre.
Dans un vallon entre Simandre et Corveissiat siège cette noble bâtisse.

A l’époque gallo-romaine, un riche propriétaire « Sélénius », aurait construit une « villa » près de la source actuelle de Sélignac.
Aussi appelé "Val St Martin", ce vallon avec sa source rappelle aussi le principal Saint Chrétien "St Martin", ancien soldat de Rome qui fut l'un des premiers prêtes vers le début du 4e siècle ap. JC en Gaule. A ces époques, les cultes Celtes et gallo romain sont peu à peu remplacés par les nouvelles croyances. Il se pourrait que le val St Martin est été un lieu de culte Celte lié à l'eau.
Aujourd'hui la chartreuse est construite au dessus la source.

A la fin du XIIe siècle, la Sirerie de Coligny s’étend sur le Revermont, de Coligny à Pont d’Ain. Le 14 septembre 1201, Hugues II de Coligny, Seigneur de Marboz et de Treffort, prend la Croix, pour partir à la 4ème croisade. Quelques mois plus tard, avec l’accord de sa femme, la duchesse Béatrice, il donne tout ce qu’il possède sur la paroisse de Sélignac à la Chartreuse de Seillon en vue de la fondation d’une nouvelle chartreuse, pour le repos de son âme et de celles de ses ancêtres. Le 8 octobre, il embarque à Venise. Il meurt en septembre 1205, en défendant Serrai, petite ville couvrant Salonique, au Nord.

Pour construire la chartreuse et garantir le désert (zone de silence), le village de Sélignac fut détruit et déplacé vers le pont de Marcou 1 km plus à l'ouest. Aujourd'hui le village n'existe plus, le village de Simandre sur Suran, encore plus loin au sud de la chartreuse, a été préféré pour y développer durablement un bourg.

De 1211 à 2009 des chartreux vécurent à Sélignac.
Aujourd’hui, des laïcs proposent des séminaires « dans le silence de la Chartreuse ».

Respectez les lieux. Accès privé.
Belvédère depuis les roches d’Arnans.

538 Chemin de l'Abbaye 01250 Simandre-sur-Suran
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Cité franc-Comtoise de Chavannes

Ville fortifiée, elle fut pendant des siècles l’extrémité sud du St-Empire Romain Germanique sur la frontière avec le Duché de Bourgogne et la Savoie.
A voir : Eglise, vestiges des remparts, lavoir
Ville fortifiée, elle fut pendant des siècles l’extrémité sud du St-Empire Romain Germanique sur la frontière avec le Duché de Bourgogne et la Savoie. Au 15e siècle, elle est le centre de toutes les attentions lors du conflit qui rattache définitivement cette terre au royaume de France. Après le traité de 1678, la ville est ruinée. A la révolution,
Chavannes est rattachée au département de l’Ain.
A voir : Eglise, vestiges des remparts, lavoir

Chavannes-sur-Suran 01250 Nivigne et Suran
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Eglise de Chavannes

L’église (15e siècle) : construite entre 1376 et 1408, vraisemblablement en remplacement d’une ancienne église romane. Elle est flanquée au nord de sa chapelle canoniale édifiée par Alix de Chalon pour accueillir le chapitre.
L’ensemble subit de nombreuses modifications, notamment aux XVIème et au XIXème siècle.

Historique :
Chavannes et Sélignat sont les deux premiers villages de la vallée du Suran à figurer dans un document écrit, « le diplôme de Lothaire », en 852 ; celui-ci confirme qu’ils sont bien dans les possessions de l’Abbaye de Condat (Saint-Claude). L’origine la plus plausible du nom de « Chavannes » est latine et atteste l’existence de cabanes, chaumières à son emplacement.
L’existence d’un prieuré (qui sera ensuite uni en 1275 à celui de Coligny), et d’une paroisse est attestée en 1184 par Frédéric 1er (Barberousse) empereur du Saint Empire Romain Germanique (2ième de la dynastie des Hohenstaufen), mais leur création est sans doute bien plus ancienne. Cette première paroisse comprenait la chapelle de Lomont ainsi que celle d’Arnans qui fut ensuite constituée en paroisse autonome au XIIème siècle.
Cela rend plus que probable l’existence à Chavannes d’une première église paroissiale, certainement de style roman, dès le XIIème siècle, et en tous cas au XIIIème siècle.
Au XIème siècle les paroisses de la vallée passent sous l’autorité de l’archevêque de Lyon, mais l’abbaye de Saint-Claude conserve le droit de nommer le curé et de prélever les dîmes. Cet accord acquis non sans difficultés subsistera plusieurs siècles. A cette époque les églises paroissiales qui succèdent à de simples chapelles, sont construites selon des principes spécifiques : le chœur ou sanctuaire, partie consacrée de l’édifice, accessible au seul clergé, appartient à l’autorité ecclésiastique de tutelle (abbaye, évêché) et décimateur (celui qui perçoit la dîme) ; une sacristie, extérieure à l’édifice mais s’ouvrant sur le chœur peut y être accolée (une telle sacristie existe par exemple encore dans l’église de Châtillon sur Chalaronne) ; la nef appartient à la paroisse ; elle comprend, proche du porche d’entrée, un baptistère, en général muni d’un couvercle fermant à clef ; des chapelles privées dotées d’un autel et dédiées à un ou plusieurs saints peuvent, soit être installées à l’intérieur de l’église, soit venir s’accoler à l’extérieur de la nef au sud ou au nord ce qui nécessite l’accord de la paroisse pour qu’elle puisse s’ouvrir sur la nef. La construction et l’entretien des ces différentes parties reviennent à chacun des propriétaires et ne sont pas nécessairement coordonnées.
Vers la fin du Xème siècle apparaissent les sires de Coligny (Manassès en 974), « seigneurs du païs de Revermont » probables successeurs de comtes carolingiens. Leurs possessions connues sous le nom de « Manche de Coligny » sont mal connues mais certainement assez vastes puisqu’elles semblent s’étendre à l’est de la Bresse et jusqu’à la vallée de l’Ain, d’Orgelet et Saint-Laurent la Roche au nord, jusqu’au Rhône au sud, si l’on se fie à la carte de Dubouchet datant du XVIIème siècle (1650). C’est donc sur les territoires des sires de Coligny et sous leur protection que s’installe au Xème et XIème siècles le prieuré et que se constitue la paroisse de Chavannes.

Avec le déclin des seigneurs de Coligny, l’Abbaye de Gigny est finalement placée sous la protection d’Etienne de Chalon, comte de Bourgogne en 1191, date qui marque l’arrivée de la maison des Chalon (plus précisément de la branche des Chalon-Auxerre) dans la vallée du Suran où elle demeurera pendant plusieurs siècles. L’abbaye cède alors ses droits sur de nombreux villages ou hameaux dont Montfleur, Pont des vents, Saint-Pierre, Pouillat, Laserra et Samonat. Puis, Jean de Chalon (dit l’Antique) fils d’Etienne de Chalon, conclut en 1251 avec l’abbé de St-Claude, Hubert de Buenc, un accord cédant au comte les terres de Chavannes en échange de sa protection sur le prieuré. Dès lors, la limite entre les zones d’influence de la maison de Savoie et des Comtes de Bourgogne est fixée. Pour cinq siècles, elle fait de Chavannes une ville frontière (frontière qui ne fut d’ailleurs matérialisée par un bornage qu’en 1612). Il faut enfin préciser qu’aussi bien le comté de Savoie que la Franche-Comté, après avoir fait partie du Royaume de Bourgogne (qui s’étendait, à l’est de la Saône et du cours inférieur du Rhône, des Vosges jusqu’à la Provence) jusqu’à sa disparition après la mort de Rodolphe III en 1032, se sont naturellement intégrées au saint Empire Romain-Germanique (l’abbé de Saint-Claude lui-même a le rang de prince d’empire ; il porte en outre l’anneau et la mitre ce qui lui confère également le rang d’évêque).
...suite document pdj ci-joiont

Place de l'église Chavannes-sur-Suran 01250 Nivigne et Suran
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Gué de Simandre / Gué de Banchin / Gué de Tournesac

Le Suran est jalonné par de nombreux gués, correspondant à de grosses pierres posées en travers du courant. Les berges étaient aussi aménagées pour le passage des animaux. D’origine incertaine, il est probable que cet emploi soit très ancien.
Au centre du village de Simandre, un peu en aval de l'église, existe un remarquable gué fait d'énormes pierres et qui remonte sans doute au Moyen-âge. Ce gué se trouve à proximité immédiate du "pont de Simandre" qui relie Simandre au Petit-Simandre.

Il existe aussi deux autres gués sur le Suran, l'un à Banchin et l'autre à Tournesac.

01250 Simandre-sur-Suran
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Le Suran

De 74 km de longueur2, le Suran naît dans la petite localité de Loisia, dans le département du Jura, à 395 m d'altitude, entre les lieux-dits Les Combes Bœuf et les Pièces Pertan.
Il se dirige d'emblée vers le sud1,2, direction qu'il maintiendra jusqu'à son confluent avec l'Ain sur la commune de Varambon près de Pont-d'Ain5. Dans la vallée, on entend dire : « à Varambon, le Suran perd son nom ».

Le Suran est une rivière assez abondante, comme tous les cours d'eau issus de la partie sud de la région du massif du Jura.
Le Suran présente des fluctuations saisonnières de débit très marquées, comme bien souvent dans l'est de la France, avec des hautes eaux d'hiver et des basses eaux d'été.

Il convient de noter que le lit du Suran est assèché complètement pendant les mois d'été entre le pont de Bohas et la résurgence du Bourbou à Neuville-sur-Ain. les pertes significatives de débit commencent en amont du pont de Marcou (Simandre sur Suran), au niveau des pertes de l'Agnelou. les années très sèches, le Suran est à sec à partir de Valuisant (Villereversure). C'est un phénomène karstique typique, la rivière coulant dans un synclinal Jurassique et crétacé constitué de calcaires. Le Bourbou est une résurgence de rive droite, en aval du pont de Planche (Neuville-sur-Ain. En aval de ce point,plusieurs résurgences dans le lit de la rivière l'alimentent. UNe partie des eaux du Suran souterrain ne resurgit pas au Bourbou, mais poursuit sa route souterrainement pour réapparaître dans la rivièred'Ain en aval de la Colombière (grotte des Gaulois, résurgences près de la Colombière, résurgence subaquatique au large du déversoir de la grotte des Gaulois).

Chavannes-sur-Suran 01250 Nivigne et Suran
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Menhir de pierre

Le long de l'ancienne voie romaine de la vallée du Suran, se dresse le seul Menhir du département.
A proximité les gués du Suran et la Charteuse de Sélignac.
Menhir de " Pierre fiche "
C'est une pierre dressée entre Thioles (Simandre) et le Suran. (mégalithisme : méga = grand ; lithos = pierre). Unique Menhir du département, il date de 2500 av. JC et mesure 3,80 de haut. La présence d'un 2e menhir est attestée depuis le 12e siècle. La fonction d'un tel monument peut être : religieuse, sépulcrales, astronomique ou de limite ?

01250 Simandre-sur-Suran
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