Débuter le cyclotourisme

A son origine, au Ve siècle, un sanctuaire de dimensions d'une chapelle de manoir, près d'une fontaine, l'église paroissiale Saint-Efflam est devenue un édifice massif fait de granite et de schiste.
Le surprenant mélange de styles architecturaux résulte des multiples opérations de construction et transformation qu'elle a vécue de la 2ème moitié du 15ème siècle à la 2ème moitié du 19ème siècle.
L'église est généralement fermée au public en dehors des offices sauf en période estivale où des portes ouvertes et des visites commentées sont organisées.

Roger FREY - référent en matière d’histoire et de patrimoine bretons - propose une description étoffée de l'édifice agrémentée d'illustrations sur son site InfoBretagne : tinyurl.com/3mxnxnvf

Une boulangerie avec une spécialité de pains spéciaux, de déserts bretons, de pâtisseries, de glaces et de chocolats maisons.
Choix de sandwichs.
Une particularité précieuse pour les promeneurs est que cet établissement est ouvert le dimanche après midi.

Bar accueillant & PMU en centre bourg.
Particularité très appréciable : l'établissement est ouvert tous les jours de la semaine et ce toute l'année.

Cette fontaine très ancienne (probalement datée du 18ème siècle) en ruines serait associée à la chapelle Saint-Gestin, ancien ermitage de saint Gestin, selon la légende, pourvu d'un enclos, dont subsiste encore un pan de mur (avec des traces d'incendie). Elle est située au centre d'un petit enclos en creux, dont seules des traces de mur subsistent. A proximité immédiate, on peut voir sous la végétation d'autres traces de ruines.
En 1673, une chapelle dédiée à saint Gestin fut édifiée à l'endroit même où, disait-on, il s'était fixé quand il abandonna le rivage à Efflam.
Son inauguration fut ajournée à cause de la révolte des "Bonnets Rouges". Elle eut droit à une imposante mission d'un mois sous la direction du Père Maunoir. Cependant, dès le 19ème siècle, la chapelle croulait.

Le rapport de l'inventaire réalisé en 2004 décrit un monument en ruines.
Il est recouvert par la végétation.
Le lavoir comblé est de forme trapézoïdale. Il mesure environ 100 cm de hauteur sur 130 cm de longueur et 150 cm de largeur.
Le canal d'alimentation est coupé en deux en son milieu par une arche en pierres cimentées.
La fontaine comporte une niche vide. Le bassin principal mesure environ 80 cm sur 70 cm avec une profondeur de 35 cm.
La fontaine est située sur un terrain en pente, dans des broussailles en bordure d'un chemin creux traversé par le ruisseau.
L'état d'envahissement par la végétation et le manque de recul n'a pas permis de réaliser une photographie.
(source: Inventaire Général du patrimoine culturel - patrimoine.bzh)

La fontaine et son lavoir ont été restaurés en 2013.

Dit de Pen ar Voaz ou de Pen ar Wazh ou encore de Pen ar Woas.
Un triptyque traditionnel a un point de résurgence constitué d'une fontaine, d'un lavoir et d'un abreuvoir.

Dit aussi lavoir de Runglas ou du Rest.
Petit patrimoine de Plestin les Gréves.
Deux lavoirs et un abreuvoir absorbés par la végétation, le site a fait l'objet d'une réhabilitation en 2021.

Saint Roch est le saint protecteur contre les épidémies.

La chapelle Saint-Roch date du 1er quart du 17ème siècle.
Cette fondation des seigneurs de Coat-Caric a été bénie le 23 avril 1621.
Signalée en mauvais état en 1782, elle a fait l'objet de travaux de restauration par la suite et a servi de chapelle funéraire à la maison du Lezart (d'après René Couffon).

Chapelle de plan rectangulaire, à vaisseau unique et chevet à trois pans, construite en granite et schiste dans un enclos légèrement surélevé.
(source: Inventaire Général du patrimoine culturel. Accès à la fiche en cliquant sur le lien tinyurl.com/bdh9wbrt )

À peine éclairée par d’étroites ouvertures, aujourd'hui la chapelle est vidée de tout mobilier et tous ses ornements.
Ne reste que des plaques tombales scellées dans les murs du cœur.
Elle sert de chapelle funéraire aux maîtres de Coat Carric.

Propriété privée

Site gallo-romain de Kozh Iliz
Temple gallo-romain, contemporain des Thermes du Hogolo datés du Ier au IIIe siècle.
Restes d’un édifice, lieu de culte à un dieu hybride (mélange de dieu gaulois et romain) autour duquel se déroulaient des fêtes populaires.
Des travaux de restauration y ont été réalisés en 2014.
“Kozj Iliz” mots bretons signifiant “vieille église”.