Débuter le cyclotourisme

Départ du bureau d'information touristique de Montbrison Hôtel de Ville Ancien couvent des Cordeliers construit en 1219 où l'office de tourisme se trouve dans le cloître.

La Salle héraldique de la Diana, ornée d'un plafond décoré de 1728 blasons, est un site unique en France. Elle accueille une bibliothèque de 40 000 ouvrages.
La Salle Héraldique de la Diana aurait été aménagée aux environs de l'an 1300 par le comte Jean Ier de Forez. Les Etats de la province se réunirent dans ce haut lieu de son histoire médiévale. François Ier y fut accueilli en 1536. Un ensemble de 1728 blasons de l'époque décore sa voûte ogivale en bois, unique en France par son ancienneté.
La ville de Montbrison l'acquit sur souscription des Foréziens en 1862, à l'instigation du Duc de Persigny, ministre de Napoléon III et forézien. Elle la restaura pour y installer la Société Historique et Archéologique du Forez, qui en prit le nom.

Percée en 1857 à travers le jardin d'Allard, elle est prolongée par la route d'Essertines-en-Chatelneuf. Musée d'Allard Jean-Baptiste d'Allard, gentilhomme forézien, fit construire cet hôtel particulier en 1812. Passionné d'histoire naturelle, il collectionna les oiseaux, les mammifères, les minéraux et les fossiles. A sa mort en 1848, ses collections constituèrent le fond ancien du musée, qui s'est enrichi depuis de jouets et de poupées, complété d'une collection de plus de 200 oiseaux naturalisés.

Aire de pique-nique située à l'étang de Savigneux. Plusieurs tables et bancs sont à disposition + espaces de jeux pour enfants. L'utilisation des barbecues installés par la commune est autorisée (Les barbecues "sauvages" sont interdits autour de l'étang).

Maison à colombages du XVIIème siècle. Cette rue était le premier marché aux bestiaux de Montbrison.

Nous vous proposons une cuisine moderne, originale et soignée à base de produits frais, de fleurs et plantes aromatiques issues de cueillette locale.
Les produits du terroir sont mis en avant dans des accords subtils et surprenants.
Nous vous conseillons une carte de vins locale ainsi que de belles références de nos régions françaises.
Le cadre est cosy et épuré pour vous permettre de passé un moment agréable suspendu dans le temps.

Construite de 1225 à 1459. De style gothique homogène, c'est la plus grande du département datant de cette époque. Buffet d'orgues remarquable, classé monument historique.

Elle est unique par son décor. De forme ogivale, le plafond à caissons est décorée des blasons des invités au mariage du Comte de Forez en 1296. La salle du 'Doyenné' de la collégiale devint la Diana. En 1588, Loys Papon y représenta 'la Pastorella'. Restaurée, la salle abrite aujourd'hui une bibliothèque.

Rue des auberges et des chirurgiens barbiers. L'hôpital et la maternité y furent transférés en 1220 et fonctionnèrent durant plus de 7 siècle. Les religieuses Augustines s'y installèrent en 1649. Depuis 1975, les bâtiments abritent les associations municipales.

Nom provenant de Tupin, marmite d'argile. Elle longe le Vizézy om les potiers s'alimentaient en eau. C'est la grande rue commerçante de Montbrison. A l'angle se trouvait une joaillerie depuis le XVème siècle.

Elle était la rue des ateliers de soierie au XVIIème siècle. Depuis le XIIème siècle, le marché anime les samedis matins de la ville.

Ouverte dès 1240, elle est placée sur le grand chemin de Forez. Foyer d'humanisme de Montbrison lors de la Renaissance : plusieurs demeures des XVIème et XVIIème siècles : Tour d'angle à poivrière, escaliers, têtes de lion, fronton triangulaire.

Face à l'église de 1870, les maison rappellent la richesse de ce quartier au XVIème siècle.

Tribunal criminel dans l'ancienne église Ste-Marie. Les services judiciaires et le palais de justice occupèrent jusqu'en 1968 l'ancien couvent de la visitation, aujourd'hui Centre musical Pierre Boulez.

Elle occupe, au Sud-Ouest de la butte, le couvent des ursulines, du XVIIème siècle.

Datant du XIXème siècle, le château fut démantelé en 1596 et ses pierres réutilisées dans les édifices de la butte.

Elle partait de la porte de la Madeleine, qui fut enfoncée par le Baron des Adrets en1562, lors du pillage de la ville. Plusieurs anciens hôtels bordent cette rue aristocratique

Elle se situe dans l'ancien collège des Oratoriens fondé en 1624.

Au pied des remparts, les fossés furent comblés au début du XIXème siècle pour tracer ces grands boulevards.