PLAN IGN
Outdoor
C’est le début de saison, vous reprenez le vélo, retrouvez des circuits pour vous aider à la préparation de journées beaucoup plus longues. C’est aussi un moyen de faire connaissance avec notre territoire terre de cyclotourisme.
En 260 km, 12 à 14 jours de marche, ce Chemin vers Rocamadour et Saint-Jacques-de-Compostelle, vous permet de découvrir les paysages et le patrimoine de la Creuse, de la Haute-Vienne, de la Corrèze et du Lot. Vous passerez par des lieux réputés ( Bénévent, Eymoutiers, Treignac, Tulle, Aubazine, Collonges-la-Rouge, Martel et la Vallée de la Dordogne) mais aussi des lieux moins connus mais tout aussi beaux et authentiques. Il est surnommé par ceux qui l'ont fait "Chemin de Paix, de Sérénité et de Beautés". Le guide 2023 (sortie février 23) est en vente via le site internet et dans les librairies, magasins de sports, Cultura, Fnac… (Prix : 17,95 €). Après Rocamadour, il vous permet de rejoindre le chemin du Puy à la Romieu en 9 étapes ou Cahors en 3 étapes. Ce Chemin est qualifié par de très nombreux pèlerins et comme le plus beau qu'ils aient fait !
Facebook : www.facebook.com/lavoiederocamadour/
Compostelle
Téléphone cellulaire : +33 7 43 16 57 76
Mél : unchemindestjacques@gmail.com
Site web (URL) : www.chemin-de-st-jacques-voie-de-rocamadour-limousin-haut-quercy.fr/
PLAN IGN
PHOTOS AERIENNES / IGN
CARTE DES PENTES (PLAN IGN)
La commune est traversée par la Turgotière des le XVIIIème siècle. Cette route a été étable par Turgot (grand intendant du Limousin et Ministre des Finances de Louis XVI) afin de faciliter les échanges Est-Ouest. A découvrir : l'église dédiée à Saint Jean Baptiste.
Le Lac des Bariousses de Treignac (99ha) est la destination idéale pour s'accorder une journée de détente ou sportive, en famille ou entre amis.
Sur place, vous trouverez une plage avec baignade surveillée, des tables de pique-nique, des jeux pour enfants, un terrain de volley, un boulodrome, un restaurant snack. Il vous est également possible de loger face au lac au sein d'un camping 3 étoiles.
La plage est rendue accessible à tous grâce à son accès PMR (tapirail) et un fauteuil de baignade amphibie TIRALO®.
Avec la Station Sports Nature Vézère-Monédières, louez votre canoë-kayak, votre stand-up paddle, votre pédalo ou votre barque de pêche électrique. Initiez-vous également à tous les types de sports nature.
Garant d’une bonne qualité environnementale, le Pavillon Bleu est hissé sur la plage du lac des Bariousses.
Bâtie au pied des Monédières, dans les gorges de la Vézère, Treignac est une cité médiévale avec son pont du XIIIème siècle, ses église et chapelles, sa halle aux grains, sa tour panoramique du XVème siècle et ses maisons à colombages.
Elle a obtenu le label "Petites Cités de Caractère" pour son patrimoine architectural et naturel. Cette reconnaissance au niveau national va lui permettre d'entrer dans la cour des grands et de sensibiliser les Treignacois et visiteurs à ce patrimoine exceptionnel et insolite. Le clocher tors de la Chapelle Notre-Dame-de-la-Paix en est un illustre exemple.
Etape appréciée des pèlerins de Compostelle en route sur la Voie de Rocamadour, elle est également réputée pour ses eaux vives qui en font un spot mondial de canoë-kayak (Championnats du monde en 2022).
Eglise de style roman (XIIIe siècle), elle était fréquentée par les habitants du quartier du château et par les serviteurs des seigneurs. Notre Dame de la Basse Cour fut la première appellation: elle était située dans la cour basse du château. Cette appellation fut abandonnée au profit de Notre Dame des Bans car, sur cette place, étaient proclamées les nouvelles intéressant les treignacois. Cette "criée" s'appelait le ban. L'église a été reconstruite en 1471. Le clocher a été réédifié en 1602 et une porte latérale gauche, de style Louis XIII, a été ouverte.
C'est l'escalier en pierre et à vis de l'Hôtel Forest de Faye, hôtel du XVIème (1585), démoli lors de la construction de la Cité Administrative. Une décoration en accolade encadre la porte d'entrée. A droite, le blason de Treignac. Trina Ostia, Trina Castella, Trina Suburbia (Trois portes, Trois Chateaux, Trois faubourgs).
Construite au XIIIème siècle, elle est contemporaine de la ville murée. Elle fut reconstruite en 1484, après le sac de Treignac par Rodrigue de Villandrando (1438). Il venait récupérer les 1000 écus que lui avait empruntés Jean de Comborn. Elle comporte actuellement douze piliers, deux piliers ont été abattus en 1910 en raison des embarras de circulation dans le quartier de Notre Dame de la Paix. La charpente est en châtaignier et elle est couverte en ardoises de Travassac. Sur la droite se trouve un appentis grillagé où étaient enfermés les poids et mesures.
Cette chapelle fut construite à l'aide de souscriptions. La première pierre a été posée en avril 1646. Ce lieu de culte recevait la Confrérie des Pénitents Blancs fondée en 1637 pour contrebalancer l'influence protestante; pendant la Révolution, un club politique l'a utilisée pour y tenir ses réunions. Au début du XXème siècle, la Confrérie s'est éteinte au décès du dernier des Pénitents.
Suite à une campagne de financement participatif et à la participation du département certains tableaux présents dans l'édifice ont fait l'objets de restauration, des travaux d’assèchement du bâtiment complèteront ces réfections.
Le village est situé au coeur du massif des Monédières et la Voie de Rocamadour. Ne manquez pas l'église Saint-Salvy et son clocher porche. C'est l'endroit idéal pour les amoureux de Sports Nature!!! A tester : le parapente, randonnées pédestres et équestres ...
Dotée d’une splendide porche gothique (inscrit aux Monuments Historiques en 1926), l’église St-Jacques le Majeur et St-Laurent possède des parties plus anciennes qui remonteraient aux XIIIème et XIVème Siècles. De nombreux objets y sont exposés :
- deux vierges en pierre et calcaire polychromes datant de la fin du Moyen-Âge
- un retable du XVIIème siècle en noyer doré et peint, sculptés par les frères Duhamel.
Etabli aux pieds des Monédières et bordé de forêts, ce charmant petit village bénéficie d'un cadre naturel exceptionnel et d'une certaine quiétude au cœur de la Corrèze. Les nombreux points de vue et promenades aux alentours, ses maisons anciennes et ses délicieuses spécialités locales offrent de jolies découvertes aux touristes.
Reconstruite fin XIXème siècle (1894) après destruction pendant la Révolution. En 1489, une église antérieure est construite à l'emplacement d'une plus ancienne datant, peut être, des Templiers. Le portail gothique est le seul élément qui subsiste.
Le presbytère, en contrebas de l'église, était autrefois relié à celle-ci par une passerelle en bois.
En 1793, l'église est démolie toute entière, sauf le portail, le curé, prêtre réfractaire, est emprisonné et les messes sont dites en cachette dans les sous sol des granges. Le portail a une certaine analogie avec ceux de Chaumeil et d'Eyrein.
Le village de l'Eglise aux Bois est situé sur la plateau de MIllevaches à la limite du département de la Haute-Vienne. Il abrite une petite église entourée en partie par son cimetière, l'ensemble se trouve au milieu des prés avec pour décors la forêt. Un baptistère en granit, une statue de Saint-Christophe du XIIème siècle, et une pietà du XVème siècle sont classés Monuments Historiques.
Au bord de la Corrèze, à 5 minutes à pied du centre-bourg du même nom, se trouve la chapelle Notre-Dame du Pont du Salut. Bâtie une première fois au XVe siècle, les restaurations des XVIIIème et XIXème siècles l'ont profondément modifiée. Le sanctuaire est le but d'un pèlerinage le 8 septembre en l'honneur de la Vierge dont la chapelle abrite la statue. Une statue en pierre polychrome venue d'Espagne, qui est vénérée chaque année.
Vestige le plus emblématique du passé médiéval de Corrèze, la porte Margot, datée du XVe siècle, témoigne du riche passé de la cité. Elle pourrait tenir son nom de Marguerite de France, surnommée "Reine Margot", 1ère épouse d'Henri IV, fille de Catherine de Médicis. Au centre, une statue de St-Martial, le patron de la cité, accueille le visiteur.
L'église Saint-Laurent de Bar est relativement récente puisque ouverte ouverte au culte en 1885. De style néo-roman, elle est bâtie en granite de la région avec une couverture d'ardoises. Des éléments du parvis comme un fût de colonne (XI-XIIème siècle) ainsi qu'un clé de voûte du XVème siècle proviennent de l'église de l'ancien bourg de Bar le Vieux.
Les reliefs tourmentés de Bar sont formés par la confluence de vallées profondes : la Corrèze, la Menaude et la Vimbelle. Elles entaillent les plateaux pour finalement se rejoindre aux limites les plus basses de la commune. De nombreux sentiers de randonnée vous permettrons de découvrir la beauté et la diversité des paysages. Ce sera l'occasion pour vous d'aller découvrir en dehors du bourg, le site religieux de Chastres. Cette charmante petite chapelle a été construite sur une excavation où l'on aurait découvert une statue de Notre Dame.
Le viaduc du Pays de Tulle se situe au nord de Tulle, sur les communes de Naves et de Les Angles sur Corrèze. Il s'agit d'un des ponts les plus hauts de France en terme de hauteur libre et de hauteur des piles. En béton précontraint, il a été construit selon la méthode de l'encorbellement successif et enjambe la vallée de la Corrèze sur une longueur de 854 m et à une hauteur de 150 m. Cet ouvrage est basé sur un tracé entièrement courbe sur un rayon de 1350 m. Ce principe de courbe procure à cette structure un mouvement d'ensemble ample et dynamique.
Naves est située au nord-ouest du plateau qui domine la vallée de la Corrèze. Implanté à un croisement de routes antiques, le bourg se développa dès le VIe siècle suite à l’abandon de l’ancien site gallo-romain dont les vestiges sont visibles à Tintignac. La petite église Saint-Pierre-ès-Liens, au centre du village, abrite un monument remarquable : le retable des frères Duhamel, célèbres sculpteurs corréziens, réalisé entre 1680 et 1704. Classé monument historique, il est un des témoins les plus prestigieux de l’art baroque en Limousin.
Ce retable présente un large panneau du XVII°s, en bois mat, élément d'un autre retable, sculpté de bas reliefs de très belle facture.
Tulle, préfecture de la Corrèze, a une âme pure et authentique. Son cœur bat dans le quartier médiéval de l’Enclos, un dédale de ruelles et d’escaliers courant entre les maisons hautes aux balcons de bois. A deux pas de la cathédrale, la Maison Loyac est un chef-d’œuvre architectural du XVIe siècle. Connue pour sa dentelle, Tulle est également la capitale de l'accordéon qu'elle célèbre tous les ans lors du festival des Nuits de Nacre.
Construite au XIIème à l'emplacement d'un premier monastère, puis devenue cathédrale en 1317, il aura fallu près de 2 siècles de travaux pour achever la construction de cet édifice. C'est ainsi que le plan roman prévu à l'origine va évaluer au fil des siècles et laisser place au style gothique léger, aérien et élancé comme en témoigne les 73 mètres de haut du clocher de la Cathédrale ce qui en fait le plus haut clocher du Limousin. Amputée de son chœur et de son transept, elle renferme des œuvres spectaculaires parmi lesquelles les Grandes Orgues réalisées en 1839 et classées aux Monuments historiques ou encore son immense vitrail aux bleus profonds qui vous racontera l’histoire de la Lunade. Cette procession miraculeuse mis fin, au XIVe siècle, à une terrible période de peste et, aujourd’hui encore, plus de 8 siècles après, se pratique chaque année attirant une foule de fidèles.
Entre Tulle et Brive-la-Gaillarde, Cornil étale ses vertes collines boisées de chaque côté de la rivière Corrèze. Bâti sur un site préhistorique, centre actif au Moyen Âge (on y battait la monnaie sous les Mérovingiens), assiégé durant les guerres de religion puis terre de Résistance, Cornil a connu des siècles d’histoire. De ce riche passé, subsistent aujourd’hui deux vestiges en équilibre sur un escarpement rocheux : l’église romane et le donjon du château, qui telles des sentinelles, surveillent la vallée de la Corrèze.
Situé sur la D.48 à 2,5 km au nord-ouest d'Aubazine, le site du puy de Pauliac offre un remarquable panorama de la région, avec, au nord, les Monédières, à l'ouest, la vallée de la Corréze et, vers le sud, les Causses. A proximité, des mégalithes verticaux délimitent une parcelle circulaire.
Un sentier, tracé à travers les bruyères et les bois de châtaigniers, amène au sommet où l'on découvre une table d'orientation qui offre une large vue.
Ouvrage d'art exceptionnel du XIIe siècle d'1.5 km, tantôt creusé dans la roche, tantôt construit en encorbellement par les moines cisterciens de l'abbaye, le canal des moines court à flanc de rocher depuis sa prise d'eau sur le ruisseau du Coyroux. Il desservait viviers et moulins et apportait l'eau courante au monastère.
Plusieurs possibilités de balades : aller-retour le long du Canal (1h30) ou boucles de randonnées (3h). Départ des balades près du lavoir au niveau de la Route de Tulle.
Attention : site interdit aux animaux, vélos, motos et poussettes.
Site non accessible aux personnes à mobilité réduite.
Chaussures de marche conseillées.
Visites guidées en juillet-août.
Abbaye cistercienne du XIIème siècle classée monument historique. Découvrez son histoire et celle de son fondateur Etienne d'Obazine. Visites guidées du cloître et sa fontaine monolithique, terrasse avec la vue sur le vivier où arrive le canal des moines, du scriptorium et de la salle capitulaire avec leurs voûtes harmonieuses, de l'ancienne cuisine avec son imposante cheminée, du couloir du 1er étage ancien dortoir des moines.
Visites guidées uniquement, aux jours et horaires de visites.
Visite guidée toute l'année sur réservation pour des groupes de 5 pers minimum.
Tarif 2€/pers
Durée 1h
Remarquable pour son abbaye cistercienne du 12ème siècle, Aubazine vaut aussi le détour pour ses ruelles pittoresques, ses maisons anciennes décorées de pierres provenant des bâtiments de l’abbaye, et le souvenir de Coco Chanel. C’est à l’orphelinat de l’abbaye d’Aubazine que la future «Mademoiselle», puisa une partie de son inspiration. La jeune Gabrielle Chanel y passa 6 ans, entre 1895 et 1901. Sa vie austère dans l’abbaye cistercienne lui donna le goût des vêtements aux lignes épurées, une prédilection pour le noir, le blanc et le beige. Quant au logo de la célèbre maison, il suffit de regarder les entrelacs des vitraux de l’abbaye pour voir d’où viennent les deux C entrelacés !
À suivre : le sentier du Canal des moines, ouvrage d’art exceptionnel du 12ème siècle destiné à alimenter en eau viviers et bâtiments conventuels, construit par les moines de l’abbaye.
A voir portail du 13ème siècle, bénitier du 12ème siècle, et cloche en bronze du 17ème siècle.
Cuve baptismale, piéta du 15ème siècle ...
demandez la clé à la mairie (la mairie est ouverte tous les matins du lundi au vendredi, en après midi les mardi et vendredi)
Collonges-la-Rouge offre un spectacle original et insolite, tant par la flamboyance de ses pierres que par la richesse de son patrimoine. Rouge des grès et lauzes aux nuances ocrées, bleu-gris des ardoises, vert des vignes accrochées aux murs forment la palette d'une petite cité de rêve.
A partir du XVIe s., Collonges est devenu le lieu de résidence des fonctionnaires de la Vicomté de Turenne et des juristes de la châtellenie, d'où la présence de nombreux castels et tours en poivrière. Au XIXe s., la cité tombant en léthargie, le maire de l'époque, Charles Ceyrac, la lancé l'idée des "plus beaux villages de France", Collonges étant le premier village labellisé !
Votre visite sera ponctuée par la découverte de l'église du XIe s. fortifiée au cours des guerres de religion, de la chapelle des pénitents du XIIIe s., du château de Vassinhac, de la halle, de la maison de la Sirène...
Le musée de la noix où il y a à boire et à manger, à 5 minutes de Collonges-la-Rouge, dans un village plein de charme !
Le musée : Dans la belle salle voûtée, le CIAN (Cercle International des Amis de la Noix) et ses treize membres vous racontent, par le son et l’image, la merveilleuse histoire de la noix. Les salles suivantes conservent son mystérieux « trésor ». 1h de visite. Départ toutes les heures.
Le coin bistro : pour satisfaire les petites faims à base de produits locaux.
Un restaurant.
Eglise St-Jean-Baptiste, XIIe et XIVe s. Portail à tympan polychrome, sculpté sur le thème de l'Adoration des Mages. Trumeau torsadé avec scène de chasse ; narthex ; coupole sur pendentifs. Accès libre. Visites guidées sur demande pour les groupes assurées par l'Office de Tourisme vallée de la Dordogne.