Débuter le cyclotourisme

Après deux ans de travaux pharaoniques, le château des Rubins devient l’Observatoire des Alpes. Toute l’année, il propose une exposition moderne, ludique et interactive sur le thème de la montagne avec un grand M.
Partez en exploration à travers des ambiances lumineuses et sonores pour découvrir les nombreuses facettes de la vie dans les montagnes !

Le château des Rubins – Observatoire des Alpes ouvre ses portes sur une nouvelle scénographie constituée d'une cinquantaine de modules interactifs répartis sur quatre étages :
1) la géologie et la glaciologie
2) la faune et la flore
3) L’histoire de l'homme dans les montagnes
4) Les évolutions du climat

Le nouveau parcours est destiné aux curieux et à un public familial. Il couvre plus de 500m2 pour une durée de visite d’environ deux heures. Les informations sont légères, mais précises.

Le château des Rubins – Observatoire des Alpes propose également une large gamme d’activités et d’ateliers pour les familles. Elle se décline de trois manières :
1) Les « Rubinoscopes » : ces animations sont des démonstrations ou expériences conçues sous forme de courtes pastilles de 15/20 minutes sur le parcours scénographique. Elles ne nécessitent pas de réservation et sont proposées sans supplément au prix d’entrée.
2) « Au labo du château » : d’un format plus long : 1h à 2h, ces ateliers font la part belle à l’expérimentation permettant ainsi d’approfondir certaines thématiques. Ils sont proposés les mercredis ou dimanches, sur réservation, tout le long de l’année au tarif de 6€ par enfant et 8€ par adulte.
3) « Les rencards de l’observatoire » : toute l’année, le château organise des causeries avec des spécialistes reconnus de la thématique : historien, artiste, artisan, archéologue… Ces invités n’ont qu’un seul mot d’ordre : vulgariser. Les rencards auront lieu le dimanche matin avec accueil café/croissant pour le prix d’un billet d’entrée du château (7€) à raison d’un tous les deux mois.

La chapelle de l'Immaculée a été construite entre 1855 et 1857, et a reçu une bénédiction officielle le 4 octobre 1857. Les habitants ont élevé cette chapelle à la gloire de Marie Immaculée. On peut la voir depuis le centre-ville, surplombant Sallanches.
Dominant la ville juste au dessus de l'église paroissiale, la chapelle de l'Immaculée Conception est un peu à Sallanches ce que Notre de Dame de la Garde est à Marseille. C'est si vrai que lors de sa bénédiction officielle le révérend qui avait voulu cette chapelle déclara : La bonne Mère veille sur la cité.

Sallanches a la chance de posséder sur son territoire 10 chapelles de village, classées bâtiments communaux car construites avant la loi de séparation de l'Eglise et de l'Etat de 1905. Pourquoi toutes ces chapelles ? Elles ont été voulues par les habitants de la montagne, souvent encouragés par leur clergé, afin que Dieu ait sa maison au cœur même de leur vie.

Le château dit « Tour de Disonche » est une ancienne tour défensive construite au XIIIème siècle. Le château portait aussi le nom de château Pissard ou de Château d’Isonche.
Il a aussi appartenu au fief des Menthon.
Aujourd'hui c'est une propriété privée
Vaste et austère, cette maison forte carré avec son pignon pointu à deux épis est restée à peu près intact depuis le XVIème siècle. Sur la façade nord on aperçoit une meurtrière d’époque.

Sa toiture monumentale à 4 faces date d’avant le XVème siècle.

Cet édifice a été rebâti en 1521 par Antoine de Bellegarde, Seigneur de Montagny, famille originaire de Sallanches (ou de Bellegarde près de Magland).

Il a été la résidence du Seigneur Juge Maje du Faucigny. Puis il appartenu à la famille de Miribel, de Regard en 1732 et Pierre Chazal (1789) et enfin du Dt Boejat-Pissard.

Vers le XIXème siècle, la Tour a servi de local de séchage de laine à l’époque où la Famille Henri exploitait les lanières à Sallanches.

Ce château fût l’un des rares à ne pas être détruit lors de l’incendie de 1840.

Il reste l’un des plus anciens bâtiments de la ville de Sallanches.

Actuellement c’est une résidence de particuliers, en cours de réhabilitation par la famille Georges.

Ensemble du bâtiment flanqué d'une tour à base ronde, surmontée d'un toit octogonal, situé juste au-dessus de l'église.
Ce château date de 1602. Résidence seigneuriale des 17ème et 18ème siècles, il accueilli aussi des sœurs et une école ménagère.
Il a appartenu au Marquis de la Serraz, fin XVIIème, début XVIIIème siècle.

Le Curé Revel en 1826, propose au conseil de Sallanches de former un établissement de sœurs pour l’instruction des filles. Le 15 octobre 1827, il fit venir de Lyon quatre sœurs de St-Joseph qui furent installées dans le château dit « Tour de la Frasse ». Marie-Joseph Pissard leur vendit la Tour et le terrain pour aménager le cimetière de la route de St Joseph.

Les sœurs en font une école et enseignent dans ce pensionnat de jeunes filles comprenant un internat et un externat. Elles avaient comme bâtiment annexe l’ancien bâtiment du noviciat du couvent des Ursulines. Une partie des services de l’internat y était installée.

En 1904, au moment de la séparation de l’Église et de l’État les sœurs partirent.

Il y eu plus tard une école ménagère.

Cette église de style néoclassique sarde, achevée en 1847 est élevée au rang de collégiale en 1893. Dédiée à St Jacques, elle possède une relique du saint conservée dans le "trésor". Elle est classée aux Monuments Historiques depuis 1974.
Vaste édifice du XVIIème siècle, redécoré au XIXème siècle dans un style néo-classique.
Aujourd'hui, classée Monument Historique, cette ancienne collégiale renferme des trésors : orfèvrerie, reliques et toiles de maitres, sans oublier son riche mobilier ainsi que son orgue remarquable.
Seule une visite guidée donne accès au trésor !
Elle a bénéficié d'une rénovation complète de 1991 à 2000.

Construite en pierre grise de Magland, elle remplaça en 1765 une fontaine plus antique. C'était un des trois points d'eau potable qui alimentaient la ville. Elle a bénéficié d'une mise en valeur lors des travaux d'embellissement de la place en 2012-2013.
Elle a résisté à l'incendie de 1840. Jusqu'au début du 20ème siècle, elle était flanquée d'un bassin qui servait aux lavandières du quartier et à l'abreuvage du bétail. Elle a été restaurée récemment "à l'identique".

Ce cadran décoratif date de 1842. Les tracés permettent la lecture de l'heure solaire locale entre 9h et 16h. Pour cela il faut repérer l'ombre projetée par le disque et plus précisement la tache lumineuse centrale.
Ce cadran très décoratif possède un disque percé d'un trou. L'heure au soleil est indiquée par la position de la tache lumineuse.
On observera la courbe "en huit" qui jusqu'en 1891, était chargée d'indiquer l'heure de Sallanches avançant de 17 minutes sur celle de Paris. Ce huit constitue aussi un calendrier solaire faisant intervenir les signes du zodiaque. Ce cadran possède 3 devises dont deux sous forme d'épigraphes, relevant d'un net engagement religieux.

Un grand parc à jeux installé derrière l'église, aménagé en partie dans la pente sur plusieurs niveaux. Tout près de la médiathèque et du Centre de la Nature Montagnarde.
11 jeux
Jeu à ressort cygne
Jeu à ressort avion
Jeu à 4 ressorts : Ile aux oiseaux
Jeu à grimper Zibal
Tourniquet incliné supernova
Portique balançoire
Siège tournant toupie
Jeu à grimper toboggan Le Club
Toboggan
Cabane
Haut parleur + banc de jardin

La médiathèque Ange Abrate est conçue comme un lieu de vie, de loisirs et de création. Elle propose une offre documentaire diversifiée ainsi que de nombreuses activités culturelles.
INSCRIPTION
L’inscription s’effectue sur présentation d’une pièce d’identité et d’un justificatif de domicile de moins de 3 mois. Pour les personnes mineures, une autorisation parentale sera demandée. Les inscriptions sont individuelles et valables 1 an à compter de la date d’inscription. Vous pouvez régler votre abonnement en espèces, par chèque ou carte bancaire.

Habitants de Sallanches : Moins de 18 ans = Gratuit et Adultes = 24 euros
Habitants d’une autre commune : Moins de 18 ans = 12 euros et Adultes = 36 euros
Personne de passage : 12 euros / 1 mois

Les abonnés peuvent emprunter les documents pour une durée de 21 jours avec prolongation possible. La prolongation en ligne sur le portail de la médiathèque est possible si le document n’est pas réservé par un autre usager.