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Débuter le cyclotourisme

C’est le début de saison, vous reprenez le vélo, retrouvez des circuits pour vous aider à la préparation de journées beaucoup plus longues. C’est aussi un moyen de faire connaissance avec notre territoire terre de cyclotourisme.

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Paris : Champ de Mars - Trocadéro - Invalides

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Paris : Champ de Mars - Trocadéro - Invalides
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Quelques incontournables de Paris Aucune difficulté particulière. Le temps de parcours estimé ne prend pas en compte les éventuelles visites. Point de départ : métro Ecole Militaire, ligne 8

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2 h 30 mn
Très facile
Accessible aux transports en commun
8.7 km
max. 61 m
min. 26 m
38 m
-42 m
Style : En ville
Public : Famille
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PLAN IGN

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PHOTOS AERIENNES / IGN

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CARTES MULTI-ECHELLES / IGN

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TOP 25 IGN

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CARTE DES PENTES (PLAN IGN)

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PARCELLES CADASTRALES

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CARTES AÉRONAUTIQUES OACI

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CARTE 1950 / IGN

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CARTE DE L'ETAT-MAJOR (1820-1866)

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CARTES LITTORALES / SHOM/IGN

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SCAN EXPRESS STANDARD / IGN

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SCAN EXPRESS CLASSIQUE / IGN

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IGN BELGIQUE

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Point de départ

2 Place de l'École Militaire
75007 Paris
Lat : 48.85459Lng : 2.30581
Image du poi

Ecole militaire

Fondée en 1751 par Louis XV, à l'instigation du Maréchal de Saxe, afin de former les officiers de l'armée (la France sort victorieuse mais non sans peine de la guerre de Succession d'Autriche), l'Ecole Militaire est destinée à l'instruction de cinq cents jeunes gens nobles et nés sans fortune.

Le projet est confié à l'architecte du Roi, Ange-Jacques Gabriel. Ses visées grandioses se heurtent vite à la réalité des difficultés de financement et le chantier du Champ de Mars est obligé de réduire sa voilure. En 1780, alors que l'institution forme des cadets depuis une vingtaine d'années, les travaux prennent fin.

Malheureusement, l'Ecole Militaire ferme ses portes en 1787 et verra ses affectations changer de nombreuses fois au cours du temps (dépôt, caserne...). Elle ne retrouve sa destination initiale qu'à la fin du XIXe siècle pour ne plus la quitter.

Le pavillon central de la façade donnant sur le Champ de Mars, surnommé le Château, de style néo-classique, est orné de dix colonnes corinthiennes surmontées d'un fronton d'un fronton sculpté de trophées et d'allégories. Sur l'entablement, quatre statues figurent, de gauche à droite, la Victoire, la France, la Paix et la Force.

Le dôme quadrangulaire qui le coiffe, inspiré de ceux du Louvre, ainsi que les deux ailes basses qui l'encadrent datent du Seconf Empire.

La statue équestre du maréchal Joffre, érigée devant l'Ecole Militaire en 1939, ouvre le Champ de Mars en direction de la tour Eiffel et de la colline de Chaillot.

13 Place Joffre 75007 Paris
- Dominique David -
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Immeuble Art Nouveau

L'architecte Jules Lavirotte, une des figures de proue, avec Hector Guimard, de l'Art Nouveau parisien, a laissé son empreinte sur l'austère avenue Rapp. Outre le ravissant square Rapp, c'est surtout l'immeuble du N°29 qui constitue son chef-d'œuvre. Edifié pour le céramiste Alexandre Bigot, cet immeuble de rapport présente une exubérante façade de grès flammé. C'est surtout l'encadrement de la porte cochère, à la luxuriante décoration d'inspiration végétale, qui retient l'attention.

11 Avenue Rapp 75007 Paris
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Tour Eiffel

Doit-on encore présenter le plus célèbre des monuments français ?

Edifiée pour être la vitrine du savoir-faire français lors de l'exposition universelle de 1889, ainsi que pour marquer le centenaire de la révolution française, la tour Eiffel, qui n'était initialement prévue que pour être éphémère, est restée pendant quatre décennies le monument le plus élevé au monde. Elle doit son salut aux nombreuses expériences de télégraphie sans fil que sa hauteur permet de réaliser.

Du haut de ses 330 mètres, la géante de 7000 tonnes de fer puddlé a vu défiler plus de 300 millions de visiteurs depuis son édification.

Le deuxième étage, situé à 115m du sol, offre des vues intéressantes sur les monuments parisiens. Les fins gourmets apprécieront le restaurant gastronomique Le Jules Verne, accessible via l'ascenseur privé du pilier sud.

Du troisième étage, culminant à 276m, le panorama époustouflant porte jusqu'à près de 70km quand les conditions atmosphériques sont favorables.

Pour plus d'informations :
www.toureiffel.paris/fr

Paris
- Dominique David -
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Jardins du Trocadéro

Des domaines du couvent des Visitandines de Chaillot et du couvent des Minimes de Chaillot, situés aux abord du mur des Fermiers Généraux, il ne restera durant une bonne partie du XIXe qu'une friche sur laquelle différents projet d'aménagement ne trouveront suite.

Il faut attendre l'exposition universelle de 1878 pour qu'Adolphe Alphand, à qui on doit nombre des grands espaces verts de l'époque haussmannienne (parcs Monceau, Montsouris, des Buttes-Chaumont, bois de Boulogne et de Vincennes...), y aménage de beaux jardins organisés autour d'une cascade et agrémentés de nombreuses statues.

C'est l'exposition universelle de 1937 qui lui donnera son visage actuel, empreint du style monumental qui prévalait à l'époque. Autour d'une série de bassins en cascade, se presse une foule constituée de touristes, de vendeurs à la sauvettes, d'adeptes du roller et du skateboard. Le grand bassin central impressionne avec ses canons à eaux dont les56 gerbes finissent leur course dans huit escaliers d'eau.

Dans la partie ouest des jardins, le long de la rue Le Tasse, on peut encore admirer deux éléments architecturaux, vestiges du palais des Tuileries incendié durant la Commune, cachés sous les frondaisons.

69 Avenue des Nations Unies 75116 Paris
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Trocadéro/Palais de Chaillot

En 1823, dans le cadre du mandat qui leur est confié pour rétablir la monarchie absolue en Espagne, les troupes françaises s'emparent du fort de Cadix, nomme Trocadero. Trois ans plus tard, une reconstitution a lieu sur la friche qui fait face au Champ de Mars, la colline de Chaillot, au sommet de laquelle est édifiée une réplique en carton-pâte, figurant la place forte. Le nom restera attaché au lieu.

En 1878, dans le cadre de l'exposition universelle, le palais du Trocadero est édifié au sommet de la colline dans un style composite, mélange hispano-mauresque et néo-byzantin. Initialement prévu pour ne pas durer plus que le temps de l'événement, il restera sur place près de 60 ans.

Son délabrement, lié à un sérieux manque d'entretien, le condamne à la disparition. Il sera détruit et remplacé lors de l'exposition universelle de 1937 par l'actuel palais de Chaillot. Ce dernier, conçu par les architectes Carlu, Boileau et Azéma, en reprend l'ossature. Les architectes font démolir la partie centrale pour y implanter une vaste esplanade, dégageant une vue époustouflante sur la tour Eiffel, le Champ de Mars et l'école militaire, et l'enserrent entre deux monumentales ailes curvilinéaires.

Dans les soubassements de l'édifice, on peut visiter l'aquarium de Paris, installé dans une ancienne carrière et seul vestige de l'exposition universelle de 1878.

Les deux ailes abritent :
- le Théâtre National de Chaillot (l'ex-TNP fondé par Jean Vilar)
- le Musée National de la Marine (fermé pour travaux jusqu'en 2023)
- le Musée de l'Homme, dont les collections ethnographiques ont été définitivement transférées au musée du quai Branly et qui se propose de répondre aux questions "Qui sommes-nous ? D'où venons-nous ? Où allons-nous ?"
- la Cité de l'Architecture et du Patrimoine, qui présente notamment au visiteur moulages, maquettes et reproductions grandeur nature de nombreux monuments français du Moyen-Âge au XVIIIe siècle.

Pour plus d'informations :
theatre-chaillot.fr
www.musee-marine.fr/paris
www.museedelhomme.fr/
www.citedelarchitecture.fr/fr

1 Place du Trocadéro et du 11 Novembre 75016 Paris
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Palais d'Iena

Conçu par l'architecte Auguste Perret, le Palais d'Iena est un des trois monuments subsistant de l'exposition universelle de 1937.

Bien qu'inachevé, le musée national des Travaux publics qu'il abrite est inauguré en mars 1939. Il faudra attendre 1943 pour sa belle rotonde soit terminée.

Le musée, peu fréquenté, est fermé en 1955. Il cède la place en 1956 à l'Assemblée de l'Union française avant de devenir trois ans plus tard le siège du Conseil économique et social, rebaptisé Conseil économique, social et environnemental en 2008.

Pour plus d'informations :
www.lecese.fr/palais-iena/monument-historique

1 Avenue d'Iéna 75116 Paris
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Palais de Tokyo

Troisième survivant, avec les palais du Trocadero et d'Iéna, de l'exposition universelle de 1937, le palais de Tokyo, œuvre des architectes Jean-Claude Dondel, André Aubert, Paul Viard et Marcel Dastugue, a été élevé à cette occasion sur les terrains de l'ancienne Manutention militaire, qui avait elle-même succédé à la manufacture de tapis de la Savonnerie.

Le bâtiment, de style sobre et monumental, est composé de deux ailes symétriques reliées entre elles par un grand portique à colonnes, encadrant un ensemble de terrasses descendant progressivement vers la Seine. Entre celles-ci, un agréable plan d'eau rectangulaire fait office de miroir liquide.

La France, grand bronze d'Antoine Bourdelle, trône au centre de la terrasse supérieure, qui communique avec les terrasses inférieures par un escalier monumental orné de bas-reliefs d'Alfred Janniot intitulés "Allégorie à la gloire des Arts".

L'aile ouest héberge un centre de création contemporaine inauguré en 2002 tandis que le Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris occupe l'aile est. Il propose un panorama complet de la création artistique du XXe siècle. Outre la Féé électricité de Raoul Dufy, un des plus grands tableaux au monde, couvrant 600m², il abrite des œuvres de Picasso, Chagall, Utrillo, Braque, Modigliani, Bonnard, Arman, Klein, Zadkine, Duchamp...

11 Avenue du Président Wilson 75116 Paris
- Dominique David -
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Théâtre des Champs Elysées

15 Avenue Montaigne 75008 Paris
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Pont de l'Alma

12 Port de la Conférence 75008 Paris
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Hôtel des Invalides - Cour d'honneur

Reprenant une idée de ses prédécesseurs Henri II, Henri III et Henri IV, Louis XIV décide en 1670 de faire édifier un complexe visant à assurer aide et assistance aux soldats invalides de ses armées ; pour que "ceux qui ont exposé leur vie et prodigué leur sang pour la défense de la monarchie (…) passent le reste de leurs jours dans la tranquillité".

Le projet, destiné à prendre place dans la plaine de Grenelle, alors en plein campagne, est confié par le secrétaire d'État français de la Guerre Louvois à l'architecte du Roi Libéral Bruant, déjà auteur de l'hospice de la Salpêtrière. Le chantier est mené tambour battant dès novembre 1671 et s'achève février 1674.Seule l'église royale, confiée par la suite à Jules Hardouin-Mansart, n'est pas encore achevée à cette époque, il faudra néanmoins attendre 1706 pour qu'elle le soit. Le Roi Soleil inaugure les bâtiments en octobre 1674, date à laquelle les premiers pensionnaires occupent les lieux.

Prévu initialement pour accueillir 6000 invalides (ce qui sera le cas de 1696 à 1690), l'établissement n'en hébergera finalement que 4000, des travaux ayant été entrepris pour le rendre plus confortable.

Le 14 juillet 1789, les insurgés assiègent les Invalides et s'emparent de 30000 fusils et 27 canons qui leur serviront pour prendre la Bastille.

L'ensemble conserve sa vocation durant la période révolutionnaire ainsi que durant l'Empire. En 1793, l'église est convertie en temple de Mars avant de devenir nécropole militaire. Elle accueille à ce titre les cendres de Turenne et accueille les trophées des campagnes impériales. Le 15 juillet 1804 s'y déroule la toute première remise de médailles de la Légion d'honneur par Napoléon aux officiers méritants.

En 1840, les cendres de Napoléon sont provisoirement déposées dans la chapelle du Dôme avant de prendre leur place définitive dans le sarcophage de la crypte.

A côté de sa mission initiale, l'hôtel des Invalides abrite aussi trois musées : le Musée des Plans-Reliefs, qui présente une collection unique au monde de maquettes tridimensionnelles des places fortes françaises, le Musée de l'Armée, consacré à l'art, la technique et l'histoire militaire du monde entier (armes, armures, uniformes, maquettes de batailles...) et le Musée de l'Ordre de la Libération.

La majestueuse et sévère cour d'honneur, que Chateaubriand comparait à un "cloître militaire" est une superposition d'arcades et de galeries sobrement décorées, cadre idéal pour les cérémonies d'hommage national aux militaires tombés au combat, mais aussi pour certaines personnalités civiles (Jacques-Yves Cousteau, Jacques Chaban-Delmas, Philippe Séguin, homme d'État, Stéphane Hessel, diplomate, Pierre Mauroy, Dominique Baudis, Charles Pasqua, Michel Rocard, Simone Veil, Jean d'Ormesson, Charles Aznavour, Jacques Chirac, Jean-Paul Belmondo, Michel Bouquet).

Une impressionnante collection de pièces d'artillerie ainsi un char léger ont pris place sous les arcades du rez-de-chaussée. Au centre du pavillon central le plus orné, qui sert de façade à l'église Saint-Louis, la célèbre statue de Napoléon en Petit Caporal.

La soixantaine de lucarnes de pierre hautes d'environ de trois mètres qui cernent la cour d'honneur sont ornées de trophées d'armes et d'attributs militaires ou héraldiques. L'une d'elle, la cinquième à droite du pavillon de l'aile est, y fait exception. On y voit une créature ressemblant à un loup, jaillissant de hautes herbes, les pattes enserrant l'œil-de-bœuf, en train d'observer la cour. Ce rébus de pierre, "Loup voit", serait clin d'œil au secrétaire d'État français de la Guerre Louvois.

Pour plus d'informations :
www.musee-armee.fr/accueil.html

21 Rue de Constantine 75007 Paris
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Hôtel de Biron - Musée Rodin

Erigé entre 1728 et 1730 pour un certain Abraham Peyrenc, un perruquier grassement enrichi par le système de Law et ayant acheté un titre de marquis, l'hôtel prend d'abord logiquement le nom de Peyrenc de Moras.

Sa veuve le loue de 1736 à 1753 à Louise-Bénédicte de Bourbon, duchesse du Maine, qui y mène une vie fastueuse.

A son décès, les héritiers de Peyrenc de Moras le vendent au maréchal Louis-Antoine de Gontaut, 6e duc de Biron, qui en fait agrandir. le jardin.

L'encombrante propriété, fortement délabrée, est vendue à la Société du Sacré-Cœur de Jésus, consacrée à l'éducation des jeunes filles de l'aristocratie et de la haute bourgeoisie. Les religieuses le jugeant trop richement ornementé décident de le dépouiller de ses décorations. Au cours du XIXe siècle, un pensionnat, puis une chapelle sont construits sur la propriété.

La loi de 1905 sur la séparation de l'Eglise et l'Etat va mener à sa confiscation par ce dernier. Après quelques années de déshérence, la propriété est classée et scindée en deux lots : d'une part, l'hôtel, ses communs et son jardin, d'autre part l’ancien pensionnat et ses dépendances, dans lequel l'Éducation nationale installe ce qui est aujourd’hui le lycée Victor-Duruy.

Entre-temps, l'hôtel a été transformé en résidence d'artistes. C'est ainsi que Cocteau, Matisse et bien entendu Rodin y élisent domicile. Alors que l'Etat décide en 1911 de congédier ses locataires, Rodin arrive à trouver un arrangement grâce auquel il obtient la jouissance du lieu en échange de ses œuvres, à conditions que l'Etat le transforme en musée à sa mort.

Le musée, intégralement rénové de 2012 à 2015, présente au visiteurs plus de 600 œuvres, dont 440 sculptures. Parmi les plus connues, on peut citer le Penseur, les Bourgeois de Calais, la Porte de l'Enfer, le Baiser, la Cathédrale...

En outre, divers dessins de l'artiste sont exposés, de même que nombre d'œuvres qu'il aimait collectionner, comme des statues antiques mais aussi trois beaux tableaux de Van Gogh. Par ailleurs, une salle est consacrée aux sculptures de Camille Claudel, qui fut la maîtresse de Rodin.

Pour plus d'informations :
www.musee-rodin.fr/

77 Rue de Varenne 75007 Paris
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Pont Alexandre III

3336 Pont Alexandre III 75007 Paris
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Petit Palais

6 Avenue Winston Churchill 75008 Paris
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Grille du Coq

33 Avenue Gabriel 75008 Paris
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Dominique David Auteur

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