PLAN IGN
Outdoor
C’est le début de saison, vous reprenez le vélo, retrouvez des circuits pour vous aider à la préparation de journées beaucoup plus longues. C’est aussi un moyen de faire connaissance avec notre territoire terre de cyclotourisme.
Partez à la découverte d'un aqueduc en pierres de tuf à deux arches logé dans le petit vallon des Sagnières. Tout au long, de cette randonnée l'eau, omniprésente, vous apportera également une fraîcheur bienvenue lors des chaudes journées estivales.
Depuis le parking du village de Clamensane (680 m), prendre la direction du pont à l'entrée du village puis le traverser.
Au torrent de Vermeil (680 m), prendre les escaliers à droite, arriver sur la piste et la remonter sur environ 1km.
Quitter la piste pour emprunter le sentier qui part à droite et remonter le vallon jusqu'à l'aqueduc.
A l'aqueduc des Sagnières (800 m), prendre à droite puis à gauche le chemin qui monte sous les pins. A la jonction avec la piste continuer tout droit en bord de champs. Arrivé au lieu-dit "Les Basses Graves" s'engager sur la route à droite.
A Font Reynier (845 m), continuer à descendre par la route en laissant, à gauche, la piste vers le col de la Croix.
Après le pont sur le ruisseau des Graves, prendre le sentier qui descend sur la droite et rejoint des zones de robines, puis le village de Clamensane.
Limitons les déplacements en voiture, pensons aux transports en commun et au covoiturage: zou.maregionsud.fr
Ce sentier peut traverser des parcs à chevaux. Penser à toujours refermer les clôtures après votre passage.
Parking à l'entrée du village, Clamensane
Depuis Sisteron (20 km) suivre la direction de la Baume puis la D951 vers La-Motte-du-Caire. 3 km avant, bifurquer sur la D1 jusqu'à Clamensane.
Mairie, Clamensane
Mairie, Clamensane
PLAN IGN
PHOTOS AERIENNES / IGN
CARTE DES PENTES (PLAN IGN)
En effet, par ce petit ravin des « Sagnières » (Marais, prairie humide), celle-ci diffuse ses bienfaits duranttoute la première partie du circuit. Comme disait St Exupéry » ce qui coulait ainsi hors du ventre de la montagne, c’était la vie, c’était le sang des hommes ». Ces hommes qui ont su utiliser et canaliser , comme ici, cette ressource pour pouvoir survivre. N’est-elle pas l’élément le plus répandu de la planète ? D’un volume mondial estimé à 1360 millions de km3, elle est aussi le plus important volume de la matière vivante : l’homme et les animaux sont constitués d’environ 71% d’eau, les végétaux verts de 85%, le bois de 50%. Autant dire que cette eau serpentant à vos pieds reste la ressource la plus précieuse que la terre puisse offrir à l’homme.