Débuter le cyclotourisme

Créé par un groupe d’anciens résistants régionaux, ce musée a pour objectif de léguer à la postérité le souvenir de ce qu’a été le combat des résistants face au nazisme et au régime de Vichy.
Des photographies et des documents inédits relatant la Résistance dans Pont de Beauvoisin et aux alentours sont présentés.
Visite commentée par d'anciens résistants ou amis de la Résistance (ANACR) sur demande.
Salle de lecture et de documentation.

Un intérêt patrimonial rare pour cette église dont l'histoire est intimement liée à la construction puis à la partition de Pont de Beauvoisin entre Isère et Savoie.
L'histoire de cette église, classée au titre des Monuments Historiques, est intimement liée au partage des ville de Pont de Beauvoisin Isère et Savoie, par la frontière tracée en 1355. Elle fut longuement attendue par les paroissiens Savoyards qui devaient se rendre à l'office en France, c'est -à-dire sur l'autre rive du Guiers. Son histoire vaut bien une visite.

Livret de découverte de l’église disponible à l'Office de Tourisme les Vals du Dauphiné- bureau de Pont de Beauvoisin.

L'église des Carmes est un monument historique du XVe siecle au choeur tout juste restauré et aux fresques superbes. A voir : les jardins suspendus et la source St Felix.
Dès 1355, les Savoyards n'avaient plus d'église paroissiale. Le Comte Amédée de Savoie se voit alors supplié en 1410 par ses administrés de construire une nouvelle église pour remédier à cette "douloureuse situation". C'est ainsi qu'en 1419 les Carmes, ordre mendiant originaire de Provence, s'installent. L'Histoire la malmena à la Révolution et les derniers Carmes s'enfuirent en 1793. Et c'est seulement en 1803 que l'église devient église paroissiale placée sous le vocable de Notre-Dame de l'Assomption. Il aura fallu 393 ans pour que les Savoyards obtiennent satisfaction!
L'extérieur de l'église est remarquable avec son portail gothique, son clocher et ne manquez pas la source St Félix qui est réputée pour ses eaux capables de guérir les maladies des yeux. L'intérieur est atypique avec une nef à un seul bas-côté, les peintures au plafond du choeur classées en 1987, le pavement au sol et les 44 pierres tombales.