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Débuter le cyclotourisme

C’est le début de saison, vous reprenez le vélo, retrouvez des circuits pour vous aider à la préparation de journées beaucoup plus longues. C’est aussi un moyen de faire connaissance avec notre territoire terre de cyclotourisme.

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Chavuissiat le petit, Corcelles et le bois vert

Chavannes sur Suran
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Chavannes sur Suran
Porche de l'église de Chavannes sur Suran
Chavuissiat le petit, Corcelles et le bois vert
Vallée du Suran
Chavuissiat le petit, Corcelles et le bois vert
Chavuissiat le petit, Corcelles et le bois vert
Chavuissiat le petit, Corcelles et le bois vert
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Chavuissiat le petit, Corcelles et le bois vert
Chavuissiat le petit, Corcelles et le bois vert

Une petite balade au départ de Chavannes sur Suran sur les chemins de la vallée, entre rivière et Bois du Clapay.

Circuit pédestre d'une distance de 10 km
Temps : 2h45 - Dénivelé : 70 m - Balisage : Jaune

Circuit pédestre n°87
Passer le pont, gagner Chav. le Petit. Retraverser le Suran, la D.42 et gagner Corcelles ; prendre à droite le chemin goudronné qui rejoint la rte de Ceillat. Suivre, prendre à gauche le chemin qui rejoint le bois vert.
Regagner Chavannes par Fond de Foy et la combe Cordier.

Variante et jonction :
• V 32 : «chemin des ânes». Boucle par Ceillat 0h40 / Rattraper rte de Corcelles et n°87 - 0h15

Informations complémentaires

Période d'ouverture

Toute l'année.

Mis à jour par

Bourg-en-Bresse Destinations - Office de tourisme - 09/01/2024
www.bourgenbressedestinations.fr
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2 h 45 mn
Facile
10 km
max. 384 m
min. 313 m
70 m
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PLAN IGN

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PHOTOS AERIENNES / IGN

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CARTES MULTI-ECHELLES / IGN

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TOP 25 IGN

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CARTE DES PENTES (PLAN IGN)

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PARCELLES CADASTRALES

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CARTES AÉRONAUTIQUES OACI

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CARTE 1950 / IGN

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CARTE DE L'ETAT-MAJOR (1820-1866)

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CARTES LITTORALES / SHOM/IGN

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SCAN EXPRESS STANDARD / IGN

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SCAN EXPRESS CLASSIQUE / IGN

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IGN BELGIQUE

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Point de départ

Départ du camping Chavannes-sur-Suran 01250 Nivigne et Suran
Lat : 46.264674Lng : 5.428791
Image du poi

Eglise de Chavannes

L’église (15e siècle) : construite entre 1376 et 1408, vraisemblablement en remplacement d’une ancienne église romane. Elle est flanquée au nord de sa chapelle canoniale édifiée par Alix de Chalon pour accueillir le chapitre.
L’ensemble subit de nombreuses modifications, notamment aux XVIème et au XIXème siècle.

Historique :
Chavannes et Sélignat sont les deux premiers villages de la vallée du Suran à figurer dans un document écrit, « le diplôme de Lothaire », en 852 ; celui-ci confirme qu’ils sont bien dans les possessions de l’Abbaye de Condat (Saint-Claude). L’origine la plus plausible du nom de « Chavannes » est latine et atteste l’existence de cabanes, chaumières à son emplacement.
L’existence d’un prieuré (qui sera ensuite uni en 1275 à celui de Coligny), et d’une paroisse est attestée en 1184 par Frédéric 1er (Barberousse) empereur du Saint Empire Romain Germanique (2ième de la dynastie des Hohenstaufen), mais leur création est sans doute bien plus ancienne. Cette première paroisse comprenait la chapelle de Lomont ainsi que celle d’Arnans qui fut ensuite constituée en paroisse autonome au XIIème siècle.
Cela rend plus que probable l’existence à Chavannes d’une première église paroissiale, certainement de style roman, dès le XIIème siècle, et en tous cas au XIIIème siècle.
Au XIème siècle les paroisses de la vallée passent sous l’autorité de l’archevêque de Lyon, mais l’abbaye de Saint-Claude conserve le droit de nommer le curé et de prélever les dîmes. Cet accord acquis non sans difficultés subsistera plusieurs siècles. A cette époque les églises paroissiales qui succèdent à de simples chapelles, sont construites selon des principes spécifiques : le chœur ou sanctuaire, partie consacrée de l’édifice, accessible au seul clergé, appartient à l’autorité ecclésiastique de tutelle (abbaye, évêché) et décimateur (celui qui perçoit la dîme) ; une sacristie, extérieure à l’édifice mais s’ouvrant sur le chœur peut y être accolée (une telle sacristie existe par exemple encore dans l’église de Châtillon sur Chalaronne) ; la nef appartient à la paroisse ; elle comprend, proche du porche d’entrée, un baptistère, en général muni d’un couvercle fermant à clef ; des chapelles privées dotées d’un autel et dédiées à un ou plusieurs saints peuvent, soit être installées à l’intérieur de l’église, soit venir s’accoler à l’extérieur de la nef au sud ou au nord ce qui nécessite l’accord de la paroisse pour qu’elle puisse s’ouvrir sur la nef. La construction et l’entretien des ces différentes parties reviennent à chacun des propriétaires et ne sont pas nécessairement coordonnées.
Vers la fin du Xème siècle apparaissent les sires de Coligny (Manassès en 974), « seigneurs du païs de Revermont » probables successeurs de comtes carolingiens. Leurs possessions connues sous le nom de « Manche de Coligny » sont mal connues mais certainement assez vastes puisqu’elles semblent s’étendre à l’est de la Bresse et jusqu’à la vallée de l’Ain, d’Orgelet et Saint-Laurent la Roche au nord, jusqu’au Rhône au sud, si l’on se fie à la carte de Dubouchet datant du XVIIème siècle (1650). C’est donc sur les territoires des sires de Coligny et sous leur protection que s’installe au Xème et XIème siècles le prieuré et que se constitue la paroisse de Chavannes.

Avec le déclin des seigneurs de Coligny, l’Abbaye de Gigny est finalement placée sous la protection d’Etienne de Chalon, comte de Bourgogne en 1191, date qui marque l’arrivée de la maison des Chalon (plus précisément de la branche des Chalon-Auxerre) dans la vallée du Suran où elle demeurera pendant plusieurs siècles. L’abbaye cède alors ses droits sur de nombreux villages ou hameaux dont Montfleur, Pont des vents, Saint-Pierre, Pouillat, Laserra et Samonat. Puis, Jean de Chalon (dit l’Antique) fils d’Etienne de Chalon, conclut en 1251 avec l’abbé de St-Claude, Hubert de Buenc, un accord cédant au comte les terres de Chavannes en échange de sa protection sur le prieuré. Dès lors, la limite entre les zones d’influence de la maison de Savoie et des Comtes de Bourgogne est fixée. Pour cinq siècles, elle fait de Chavannes une ville frontière (frontière qui ne fut d’ailleurs matérialisée par un bornage qu’en 1612). Il faut enfin préciser qu’aussi bien le comté de Savoie que la Franche-Comté, après avoir fait partie du Royaume de Bourgogne (qui s’étendait, à l’est de la Saône et du cours inférieur du Rhône, des Vosges jusqu’à la Provence) jusqu’à sa disparition après la mort de Rodolphe III en 1032, se sont naturellement intégrées au saint Empire Romain-Germanique (l’abbé de Saint-Claude lui-même a le rang de prince d’empire ; il porte en outre l’anneau et la mitre ce qui lui confère également le rang d’évêque).
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Place de l'église Chavannes-sur-Suran 01250 Nivigne et Suran
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Gour de la Rande

La Rande est un ruisseau qui apparaît lors des fortes pluies et qui se jette dans le Suran. Dans le bois du Clapay un entonnoir s’est formé (un Gour) et qui fonctionne en hautes eaux comme une source vauclusienne alimentant le ruisseau.
La Rande est un ruisseau qui apparaît lors des fortes pluies et qui se jette dans le Suran. Dans le bois du Clapay un entonnoir s’est formé (Gour : doline, effondrement ;
phénomène karstique) et qui fonctionne en hautes eaux comme une source vauclusienne (résurgence : rivière qui ressort) alimentant le ruisseau. La présence accrue de mousse dûe à l’humidité génère une ambiance particulière.
A voir : Lapiez. Accès pédestre depuis Dhuys ou Chavannes

Chavannes-sur-Suran 01250 Nivigne et Suran
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Le Suran

De 74 km de longueur2, le Suran naît dans la petite localité de Loisia, dans le département du Jura, à 395 m d'altitude, entre les lieux-dits Les Combes Bœuf et les Pièces Pertan.
Il se dirige d'emblée vers le sud1,2, direction qu'il maintiendra jusqu'à son confluent avec l'Ain sur la commune de Varambon près de Pont-d'Ain5. Dans la vallée, on entend dire : « à Varambon, le Suran perd son nom ».

Le Suran est une rivière assez abondante, comme tous les cours d'eau issus de la partie sud de la région du massif du Jura.
Le Suran présente des fluctuations saisonnières de débit très marquées, comme bien souvent dans l'est de la France, avec des hautes eaux d'hiver et des basses eaux d'été.

Il convient de noter que le lit du Suran est assèché complètement pendant les mois d'été entre le pont de Bohas et la résurgence du Bourbou à Neuville-sur-Ain. les pertes significatives de débit commencent en amont du pont de Marcou (Simandre sur Suran), au niveau des pertes de l'Agnelou. les années très sèches, le Suran est à sec à partir de Valuisant (Villereversure). C'est un phénomène karstique typique, la rivière coulant dans un synclinal Jurassique et crétacé constitué de calcaires. Le Bourbou est une résurgence de rive droite, en aval du pont de Planche (Neuville-sur-Ain. En aval de ce point,plusieurs résurgences dans le lit de la rivière l'alimentent. UNe partie des eaux du Suran souterrain ne resurgit pas au Bourbou, mais poursuit sa route souterrainement pour réapparaître dans la rivièred'Ain en aval de la Colombière (grotte des Gaulois, résurgences près de la Colombière, résurgence subaquatique au large du déversoir de la grotte des Gaulois).

Chavannes-sur-Suran 01250 Nivigne et Suran
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