PLAN IGN
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Outdoor
Vous voilà prêt à attaquer les routes et cols empruntés régulièrement par les coureurs du Tour de France – là où ont eu lieu des combat inoubliables, des défaillances, des attaques de légende….
Le tour de Paris par les square et parcs autour de Paris. Une randonnée d'environ 50 Km.
Rando en cours de documentation....
- La Promenade Jane et Paulette Nardal
- La petite ceinture du 14eme
- Le parc André Citroën
- La porte Saint Cloud
- L'architecture du stade Jean Bouin
- Les serres d'Auteuil
PLAN IGN
PHOTOS AERIENNES / IGN
CARTE DES PENTES (PLAN IGN)
Situé sur une colline, cet îlot hors du temps, ensemble des ruelles pavées, bordées de pavillons, a été créé à l'initiative du pasteur Sully Lombard (1866-1951), ministre du culte du temple de Charonne. Le terrain est acheté en 1908 par la société coopérative « la campagne à Paris », les maisons étant destinées à loger la classe populaire.
Quatre-vingt-douze pavillons sont ainsi bâtis entre 1911 et 1928, en briques, pierre meulière ou plâtre coloré, et dotées d'un petit jardin.
Le terrain était une ancienne carrière de gypse, laissée à l’abandon en 1878 et remblayée par la terre et les gravats des avenues Gambetta et de la République, lors des travaux haussmanniens. La sociologie du lieu a nettement changé mais les habitants veillent à en préserver l'harmonie afin d'éviter les transformations hasardeuses.
ATTENTION Hippodrome d'Auteuil est fermé jusqu'en Octobre 2024.
Le jardin de l’hospice Debrousse a été ouvert en 1982 sur une partie du parc de l’ancien château de Bagnolet. L’hospice Alquier Debrousse, qui existe toujours, destiné à l’accueil des vieillards, a été fondé en 1884 sur l'emplacement de l'ancien château.
Il a été créé grâce à un legs de la baronne Alquier, épouse de l'homme d'affaires Jean -Hubert Debrousse (1844-1899).
Contourner par le Boulevard Jourdan pour entrer ou sortir de la cité Universitaire, pendant les travaux.
C’est un petit bâtiment de style Régence, érigé en 1723 -1727 par l'architecte Serin. Il est le seul vestige de l’immense château de Bagnolet. D’abord demeure seigneuriale au 17e siècle, il devient résidence royale lorsqu'il est acquis en 1719 par la duchesse d’Orléans (1677-1749), épouse du Régent Philippe d’Orléans.
Le château est détruit en 1771. Sa dénomination vient des décors intérieurs en grisaille représentant des ermites.
Elle domine la place et la rue Saint-Blaise et a conservé un aspect d'église de village. Elle est bâtie sur le lieu d’un ancien oratoire commémorant la rencontre légendaire entre Saint-Germain l’Auxerrois et Sainte-Geneviève. Les parties les plus anciennes sont les piliers de la tour du 12e siècle. Puis elle a connu de nombreux remaniements au 15e et 18e siècles. Construite sur une couche d’argile instable, elle a été consolidée en 2014 et 2016. Des fouilles archéologiques de 2012 ont mis à jour plus de 380 sépultures dont les plus anciennes remontent au 13e siècle.
Rue principale de l’ancien village de Charonne, elle a conservé jusqu'à la place des Grès son aspect villageois avec ses pavés et ses maisons aux portes charretières.
Les résidences de campagne de la noblesse ont disparu. Il reste le portail du numéro 46, vestige d’une maison du 18e siècle.
La maison de l’architecte Le Camus de Mézières (1721-1789) au numéro 5 a été détruite en 1729. Elle a été photographiée en 1900 par Atget.
Au croisement des rues Saint-Blaise et Vitruve, s’y trouvait un dépôt de pavés. Sous l’Ancien régime, les seigneurs de Charonne y avaient installé un poteau de justice et un pilori.
Le parc, aménagé en trois parties, occupe l’emplacement des anciens entrepôts vinicoles de Bercy. Ils contribuèrent a l’activité du plus grand centre mondial de négoce de vins et de spiritueux au XIXe siècle et furent fermés vers 1950. Le parc, planté de 400 vignes, au tracé résolument contemporain, en conserve le souvenir. Les rues pavées dévoilent les rails sur lesquels circulaient les wagons citernes. Un chai d’embouteillage et l’ancien bureau d’octroi ont été conservés.
Source : Panneau de la ville de Paris
Écrivain et poète français, Georges Duhamel (1884- 1992) était médecin. C’est la Chronique de Pasquier, écrite de 1933 à 1945, qui le fait connaitre du grand public. Ce jardin en pente douce descend vers la Seine. Il est composé d’une pelouse centrale, d’une tonnelle recouverte de plantes grimpantes et d’arbustes en lisière.
Source : Panneau de la ville de Paris
Les fontaines Wallace sont des points d’eau potable publics, des fontaines qui se présentent sous la forme de petits édicules en fonte présents dans plusieurs villes dans le monde.
Dessinées par Charles-Auguste Lebourg, elles tiennent leur nom de Richard Wallace, le philanthrope britannique qui finança leur édification. Elles sont souvent associées par les étrangers à l'image de Paris, car c'est dans cette ville qu’elles furent implantées en premier et que c’est en France qu’on en trouve le plus.
Source wikipedia
Trois jardins se succèdent en terrasse jusqu’à la Seine : le carré botanique du jardin des Écoles, les prairies du jardin central et les pelouses du jardin de l’avenue de France. Cet ensemble paysager à la gestion écologique innovante bénéficie des eaux de pluie récupérées des toits des bâtiments voisins.
Une passerelle aérienne relie la rue Marie-André Lagroua Weill Hallé à l’esplanade des Grands Moulins, ancienne minoterie industrielle créée lors de la Première Guerre mondiale pour la fabrication de farine, aujourd’hui réhabilitée en bâtiments universitaires.
L’abbé Pierre, né Henri Grouès (1912-2007), consacra sa vie à la lutte contre la pauvreté et l’exclusion. Engagé dans la Résistance durant la Seconde Guerre mondiale, il adopte dans la clandestinité le nom d’abbé Pierre, Il fonde en 1949 le mouvement Emmaüs, et acquiert sa notoriété à partir du froid hiver 1954, en lançant une campagne spectaculaire en faveur des sans-abris. Emmaüs est présent aujourd’hui dans 4 pays.
Source : Panneau de la ville de Paris
Il a été baptisé en 2006 du nom de l’artiste polonais né en 1821 à Laskowo-Gluchy et mort à Paris en 1883. Une sculpture d’Aleksander Slima représente les pages d'un livre ouvert où figurent des extraits de textes de Cyprian Norwid. Artiste romantique éminent, poète, prosateur, dramaturge, sculpteur, peintre et dessinateur, Cyprian Norwid était surtout connu dans le milieu artistique de l’époque comme déclamateur, dessinateur et graveur. Ami de Frédéric Chopin, d’Adam Mickiewicz... grand voyageur, il s’installe définitivement à Paris en 1854.
Source : Panneau de la ville de Paris
Graphe winie graphiti.
Plus d'infos :
www.viniegraffiti.com/bio
Berthe Morisot née le 14 janvier 1841 à Bourges et morte le 2 mars 1895 à Paris, est une artiste peintre française, cofondatrice et doyenne du mouvement d'avant-garde que fut l'impressionnisme.
Les fontaines Wallace sont des points d’eau potable publics, des fontaines qui se présentent sous la forme de petits édicules en fonte présents dans plusieurs villes dans le monde.
Dessinées par Charles-Auguste Lebourg, elles tiennent leur nom de Richard Wallace, le philanthrope britannique qui finança leur édification. Elles sont souvent associées par les étrangers à l'image de Paris, car c'est dans cette ville qu’elles furent implantées en premier et que c’est en France qu’on en trouve le plus.
Le jardin porte le nom du seigneur de Vaucouleurs, Robert de Baudricourt. Il offrit à Jeanne d’Arc, en en 1429, une escorte pour se rendre auprès du dauphin Charles, à Chinon, afin de le convaincre de venir à Reims Pour ce faire sacrer roi de France sous le nom de Charles VII.
Des bouleaux argentés et des plantes vivaces ornent ce jardin
Source : Panneau de la ville de Paris
Créé par le paysagiste Jacques Coulon, le square d'un hectare gagne sur le minéral côté rue Gandon et la dalle de Choisy devient accessible à tous. L'axe central, reliant les différentes entrées, est symbolisé par un alignement d'arbres créant un ilot de fraicheur. Si leur verticalité répond à celle du contexte urbain, une végétation plus basse d'arbustes et de vivaces fleuries ou à feuillage persistant enrichit la palette végétale et favorise la biodiversité. Doté de pelouses, le square permet détente et activités physiques douces ou soutenues, tout en gardant sa vocation de lieu de passage.
Le nom de ce square rend hommage a Samuel Beckett (1906-1989) écrivain, romancier et dramaturge irlandais. Résistant en France lors de la Seconde Guerre mondiale, il poursuit à Paris son œuvre en français et connait le succès avec sa pièce « En attendant Godot».
Affilié au théâtre de l'absurde, Il évoque la solitude de l'homme, l'impossibilité de communiquer et reçoit le prix Nobel de littérature en 1969.
Source : Panneau de la ville de Paris
Le jardin porte le nom du peintre, graveur et sculpteur d’origine espagnole Joan Miró (1893-1983). Son œuvre au caractère naïf, fortement Surréaliste, offre un monde coloré et plein d’humour.
Traversé par deux cours d’eau, le jardin, aménagé sur la totalité d’un îlot, est composé d’un relief en vagues successives.
Source : Panneau de la ville de Paris
Le jardin rend hommage à François Étienne-Christophe Kellermann (1735-1820), maréchal de France, qui remporta la bataille de Valmy en 1792.
Ce jardin public, créé lors de l’exposition universelle de 1937, est le plus grand de l’arrondisse ment avec 5,58 hectares paysagers. Il recouvre le lit de la Bièvre et une partie des fortifications de Thiers. Il a été réaménagé dans les années 1960 dans l’esprit art déco des années 1930.
Source : Panneau de la ville de Paris
Jean-Claude Nicolas forestier (1861-1930), architecte et paysagiste français, conservateur du bois de Boulogne, joua un rôle essentiel dans l'écriture paysagère des grands parcs parisiens dont il exporta le modèle dans le monde. La parution de son ouvrage grande ville et systèmes de parcs en 1906 reste d'actualité pour sa vision urbanistique. Le jardin est planté de massif arbustif constitué principalement de plantes méditerranéennes d'arbres de haute tige et de parterre de plantes vivaces.
Source : Panneau de la ville Paris
Il ne reste rien de ce regard. A l'endroit précis ou se situait le regard, une sculpture de source semble être un clin d’œil.
Pour plus d'informations sur l'aqueduc et ses regards vous pouvez vous référer au descriptif du parcours "L'aqueduc Médicis".
Plus d'infos :
ruedeslumieres.morkitu.org/apprendre/medicis/index.html
Implanté dans un parc paysager de 34 hectares, la cité internationale est un campus unique au monde, créé en 1925. Elle accueille chaque année 12000 étudiants et chercheurs du monde entier. Toute singulière, ces 43 maisons offrent la possibilité d’expérimenter le vivre ensemble dans une ambiance internationale.
La maison a été le cadre de nombreux tournages, notamment du film Indochine de Régis Wargnier, qui value à sa protagoniste Catherine Deneuve le César de la meilleure actrice en 1993.
Square du serment de Koufra
14eme arrondissement
Surface : 2,75 ha
Origine du nom :
Après la bataille de Koufra (Janvier à mars 1941) en Libye, le colonel Philippe Leclerc fait le serment de ne déposer les armes que lorsque le drapeau français flottera de nouveau sur la cathédrale de Strasbourg.
Cette promenade conçue sur le site de l’ancien hôpital Broussais, s’inspire de la pipistrelle, espèce protégée de chauve-souris dont la petite ceinture proche abrite la plus grande colonie d’Europe.
Le cheminement reprend la structure de son aile et conduit le promeneur vers quatre salons alliant la détente au ludique.
La palette végétale favorise la biodiversité et le paysage se construit au gré des volumes de végétaux.
Cette promenade qui relie la petite Ceinture à Goulée verte Vercingétorix vient renforcer la, trame verte de l’arrondissement
Les sœurs Jane et Paulette Nardal, femmes de lettres, sont nées en Martinique.
En 1920, Paulette devient la Première femme-noire à étudier à la Sorbonne ou Jane la rejoint
Leur salon littéraire est fréquenté par de nombreux écrivains et intellectuels dont Léopold Sédar Senghor et Aimé Césaire. En défendant la culture noire et la fierté des peuples afro-descendants, elles ont posé les bases théoriques du mouvement de la négritude.
Hommage à Berty Albrecht par l'artiste C215.
C215, pseudonyme de Christian Guémy, est un artiste urbain, pochoiriste français, né en octobre 1973 à Bondy.
Source : fr.wikipedia.org/wiki/c215_(artiste)
Il travaille et vit à Vitry-sur-Seine, dans le Grand Paris, où il a invité des centaines d'artistes internationaux à transformer sa ville.
Berthe Pauline Mariette Wild, dite Berty Albrecht, née le 15 février 1893 à Marseille et morte le 31 mai 1943 à la prison de Fresnes (Seine), est une féministe et résistante française. Elle est l'une des six femmes Compagnons de la Libération et l'une des deux femmes inhumées dans la crypte du mémorial de la France combattante au mont Valérien.
Source fr.wikipedia.org/wiki/berty_albrecht
Médecin bactériologiste Albert Calmette (1863-1933) découvre, avec Camille Guerin 1872-1961) le vaccin antituberculeux du BCG. Un ensemble en marbre sculpté par Paul Manaut intitulé printemps (1932) représente trois nymphes. Une Scène pastorale (1932), œuvre de Gilbert Privas, encadre les deux bassins
Ce square, arboré de tulipiers de Virginie, de pterocaryas et de ginkgos bilobas offrent des Installations ludiques qui font le bonheur des enfants : aires de jeux de ballon, tables de ping pong, piste a patins, structure à grimper…
Source : Panneau d'information ville de Paris.
www.paris.fr/pages/espaces-verts-139
Les Chantiers du Cardinal Verdier :
L’œuvre est ainsi nommée car elle a été réalisée sous l’impulsion du Cardinal Jean Verdier (1864-1940), archevêque de Paris.
Dès 1931, ce religieux progressiste lance un vaste chantier de construction d’églises dans les nouvelles paroisses créées en région parisienne ainsi qu’a Paris. Ces créations visent à évangéliser une population en grande augmentation.
L’œuvre fait appel aux architectes Julien Barbier (1869-1940), Charles Venner (1890-1981), Henri Vidal (1895-1955), Paul Rouvière (1906-1939), Jean Tandeau de Marsac (1906-1980)
Cent dix églises ont été construites entre 1931 et 1940, au décès du Cardinal Verdier. Quelques bâtiments parmi les plus remarquables sont Notre-Dame de la Mission à Epinay sur Seine, Saint Stanislas à Fontenay aux Roses, Sainte Agnès à Maisons-Alfort.
Les constructions se poursuivent dans les décennies suivantes. L’œuvre finance toujours églises nouvelles et restaurations.
Depuis 1931, trois cents églises ont été bâties dont beaucoup bénéficient du label « Patrimoine du XXe siècle ».
La Petite Ceinture est une voie ferroviaire de 36 km autour de Paris, construite au Second Empire (1852-1869) pour relier les gares parisiennes Le tronçon d'Auteuil à Ivry, inauguré le 25 février 1867 desservait notamment les usines Citroën de Grenelle (aujourd’hui parc Andre Citroën), les ateliers du métro de Vaugirard jusqu'en 1976 et les abattoirs de Vaugirard (actuellement parc Georges-Brassens) jusqu'en 1979.
Depuis arrêt de la ligne, la végétation s’est installée spontanément sur les ouvrages ferroviaires, créant des habitats propices à la petite faune.
C’est cet environnement naturel singulier que l’aménagement paysager met en valeur. Ce lieu unique, construit par endroit au-dessus de la plaine de Vaugirard, offre des vues originales sur la ville. Cette promenade écologique de 1300 m abrite un milieu fragile, placé sous votre protection.
Source : panneau d'information de la ville de Paris
Il a été nommé en juillet 2015 en mémoire de la résistante Eugénie Djendi, sous-lieutenant de l'armée française, "Morte pour la France " à Ravensbrück en 1945.
Eugénie Djendi a été déclarée « Morte pour la France » et a reçu à titre posthume la Légion d'honneur, la Croix de guerre avec palme de vermeil et la médaille de la Résistance.
En 2019, un monument aux morts pour la France en opérations extérieures (OPEX) est installé à l'intérieur du jardin. Il est inauguré le 11 novembre 2019 par le président de la République française, Emmanuel Macron, en présence de familles et proches des défunts.
Source : fr.wikipedia.org/wiki/jardin_eugénie-djendi
Créé par, Jean-Camille Formigé (1845-1926), ce jardin historique est l'un des plus insolites de la capitale. Il associe l'élégance d'un jardin à la française, une architecture audacieuse du XIXe siècle et l'exotisme des plantes tropicales abritées dans les serres. Lieu de production horticole jusqu'en 1968, il fait partie des quatre sites qui composent le Jardin botanique de Paris. On y trouve environ 5 500 espèces végétales de collection. Doté de nombreuses serres, il comprend un palmarium qui culmine à 15.75 mètres. Le jardin est agrémenté de rosiers, de pivoines, de parterres fleuris et d'arbres remarquables : arbre aux 4o écus et chêne liège, plantés en 1895, ailanthe et ptérocarya de Chine, hauts de plus de 30 mètres. Il est orné d'une fontaine, dont le haut-relief en médaillon (Bacchanale) est l'œuvre de Jules Dalou, de statues (La muse Erato et ses compagnes), de mascarons provenant des ateliers d'Auguste Rodin (1840-1917) et de vasques en fonte émaillée du XIXe siècle.
Source : Panneau d'information ville de Paris
Tout sur les jardins de Paris
www.paris.fr/pages/espaces-verts-139
Bois de Boulogne
Le bois de Boulogne est une étendue boisée, située dans le 16e arrondissement de Paris.
Couvrant une superficie de 846 hectares (8,45 km2) dans l'ouest de la ville, le bois de Boulogne peut être considéré comme l'un des deux « poumons » de la capitale française avec le bois de Vincennes à l'est. Deux fois et demi plus grand que Central Park à New York, et 3,3 fois plus grand que Hyde Park à Londres, il est cependant 5,9 fois plus petit que la forêt de Soignes à Bruxelles et occupe seulement la moitié de la surface de la Casa de Campo de Madrid. Le bois de Boulogne occupe une partie du site de l'ancienne forêt de Rouvray.
La partie centrale du bois accueille le parc de Bagatelle, ainsi que le jardin du Pré-Catelan. Sa partie nord est occupée par le Jardin d'acclimatation, un parc d'attractions jadis célèbre pour sa ménagerie et aujourd'hui pour abriter la fondation Louis-Vuitton. Au sud-est se situe le jardin des serres d'Auteuil et l'hippodrome d'Auteuil. Au sud-ouest, entre l'hippodrome de Longchamp et le parc de Bagatelle, se trouvent le golf de Longchamp ainsi que les château et domaine de Longchamp, qui abritent depuis 2015 la fondation GoodPlanet.
Source :
fr.wikipedia.org/wiki/bois_de_boulogne
Jacques-Audiberti (1899-1965), écrivain et poète français, vécut de nombreuses années dans le 17e arrondissement de Paris. Situé dans le prolongement de la promenade Bernard Lafay, le jardin est planté de marronniers, de cerisiers à fleurs, de peupliers d’Italie et d’amélanchiers.
Source panneau d'information ville de Paris
Ombragé par des érables argentés et des frênes, le square est rénové en 2022. Il bénéficie de nouvelles plantations notamment d’arbres résistants au changement climatique tels l’arbre à soie, le néflier ou le grenadier. De nombreuses assises sont offertes à ses visiteurs.
Le nom du square rend hommage à Auguste Balagny (1805-1896), premier maire du 17 arrondissement de Paris, en poste de 1860 à 1870. Surnommé «le baron Haussmann des Batignolles», il est à l’origine d’une politique urbaine et culturelle d’envergure.
Le nom de ce jardin rend hommage à Lily Laskine (1893-1988), harpiste française d’origine russe, qui se distingua par l’interprétation du concerto pour flûte et harpe de Mozart, disque classique le plus vendu de l’histoire. Ce jardin en terrasse présente un tracé octogonal qui contraste avec les mouvements souples des allées et des massifs paysagers.
Source panneau d'information ville de Paris
La promenade porte le nom du ministre, président du Conseil de Paris, député et sénateur, Bernard Lafay (1903-1977). Reliant entre eux plusieurs jardine, elle s’étend de la Porte Maillot à la Porte d’Asnières. Alternant espaces verts clos et ouverts, résineux, feuillus et arbustes bordent le cheminement.
Source : Panneau d'information ville de Paris
Le jardin porte le nom de Claire Motte danseuse étoile. Depuis cet espace vert crée à l’emplacement de l’ancien réseau de voies ferrées reliait Paris a Salnt-Germain-en-Laye, on aperçoit la silhouette de l’Opéra de Paris. L’aménagement du jardin met en valeur des vestiges des anciennes fortifications de Thiers. Plus de 200 arbres y ont été plantés ainsi qu’une grande diversité d’arbustes.
Source panneau d'information ville de Paris.
Le nom de ce jardin rend hommage à Paul Paray (1886-1979), compositeur, interprète et chef d’orchestre français.
Il fut président des concerts Lamoureux en 1923 et créa de nombreuses œuvres de ses contemporains : Maurice Raval, Gabriel Piermé ou Lili Boulanger.
Traversé par une rue piétonne, le square est planté de bambous, de rosiers, d’arbustes à fruits décoratifs et de plantes vivaces.
Source : panneau d'information ville de Paris
Marcelle Henry (1895-1945) résistante, déportée, l'un des six femmes compagnon de la libération.
Saisons, sport et eau se conjuguent dans ce parc très imbriqué dans la ville, les allées prolongeant les voiries du quartier. De la rue Cardinet au boulevard Berthier, le printemps se révèle aux floraisons des cerisiers et magnolias, puis la fraîcheur estivale se trouve à l’ombre des saules sur les pelouses.
Après le grand bassin et sa cascade, chênes et érables illuminent l’automne quand pins et bouleaux évoquent l’hiver. Du belvédère se découvrent aussi le verger et les fossés humides. Rails et bâtiment de l’horloge témoignent du passé ferroviaire des lieux où se situaient la gare des Batignolles et le dépôt des locomotives à vapeur.
Le parc rend hommage au pasteur Martin Luther King (1929-1968), prix Nobel de la paix en 1964. Il lutta contre la discrimination raciale aux États-Unis d’Amérique où la ségrégation était alors légale. Prônant l’action non violente pour obtenir l’égalité des droits civiques, il marqua particulièrement les esprits avec son discours « I have a Dream », le 28 août 1963 à Washington.
Source panneau d'information ville de Paris
Ce square se révèle au détour d’une promenade aménagée le long de la rue André Bréchet, à l’ombre des alignements de marronniers. S’y dévoilent au printemps les couleurs d’un merisier, d’un arbre de Judée et d’un sophora du Japon ainsi que de pommiers et poiriers. Les hautes acanthes mauves à feuilles molles et les sauges d’Afghanistan bleues, qui resplendissent l’été, s’associent aux graminées pour conférer à ce jardin une atmosphère méridionale. Il offre une halte familiale entre les immeubles HBM aux murs de briques des années Trente et les terrains de sport voisins.
Jacques Manavian (1928-2020) est un boxeur et entraîneur sportif. Champion de France militaire de boxe anglaise en 1948, il initie à la boxe dès 1959 des générations de jeunes Parisiens au Centre sportif Max Rousié. Défenseur des valeurs de fairplay et de loyauté dans le sport, éducateur dans l’âme, attentif aux devenirs des jeunes, il est une figure charismatique du 17 arrondissement.
Source : Panneau de la ville de Paris
Ce jardin d’une surface de 8 800 m² a été créé en 1976.
Il est composé autour d’une vaste pelouse centrale, encadrée de larges allées ombragées par de majestueux tilleuls. Des buttes enherbées, ornées de petits arbres comportant des floraisons printanières et aux couleurs automnales remarquables, des massifs de plantes vivaces à floraison bleue et blanche, ainsi que de nombreux arbustes complètent cet ensemble paysager.
Une grande aire de jeux et une ferme pédagogique équipent ce jardin, entièrement rénové en 2019.
René Binet (1866-1911), architecte et théoricien de l’architecture, donne également son nom à la rue voisine. Il réalisa notamment la porte monumentale présentée place de la Concorde à l’exposition universelle de 1900, et fut l’architecte de la reconstruction des magasins du Printemps de la mode en 1907.
Source panneau d'information ville de Paris
Source : Panneau de la ville de Paris
Violoncelliste française, Ginette Neveu (1919-1949) a enregistré avec le chef d’orchestre Herbert von Karajan. Elle périt dans un accident d’avion reliant Paris à New York en 1949, comme le boxeur Marcel Cerdan. Le jardin est composé de massifs de cornouillers, remarquables par les différentes couleurs de leur bois, des érables, des bouleaux et des aulnes.
Source panneau d'information ville de Paris
Platanes, érables, amélanchiers bataillent avec les pommiers à fleurs et pruniers à écorce décorative pour offrir ombre et fraicheur aux espaces de détente et de loisirs de ce square de quartier.
La rue Charles Hermite (1822-1901), ouverte en 1932, a été tracée sur l’ancienne enceinte de Tiers qui ceinturait Paris. Le square du même nom est aménagé cinq ans après.
Charles Hermite est un des mathématiciens français les plus importants du XIX° siècle. Membre de l’académie des sciences dès 34 ans, il est connu dans le monde scientifique tant pour la résolution de l’équation du 5° degré et la preuve de la transcendance du nombre « e », que pour les nombreux concepts familiers des mathématiques actuelles auquel son nom est encore attaché.
Source panneau d'information ville de Paris
ATTENTION :
Une femme seule préférera la rue Emile Bollaert, pour cause de fréquentation hasardeuse... Le passage "forêt linéaire" déconseillé.
Emile Bollaert (1890-1978), homme politique français, suit la carrière préfectorale de 1919 a 1940, avant de s’engager dans la Résistance pendant la Seconde Guerre mondiale. Il succède à Jean Moulin comme représentant du général de Gaulle auprès du Conseil national de la Résistance, mais il est déporté en 1944. Après la guerre, il préside la Compagnie nationale du Rhône (1949-1960).
Construit sur les terrains de l’ancien hôpital Claude-Bernard ponctué de placettes, ce mail verdoyant relie la porte d'Aubervilliers au square Claude-Bernard. Cette promenade est prolongée par une forêt linéaire qui permet de rejoindre le canal Saint-Denis.
Source : Panneau de la ville de Paris
Superstructure en acier bardée de bois. Elle relie le ZAC Claude Bernard à Aubervilliers
C’est le plus grand parc de la capitale (55ha).
Il est séparé en deux par le canal de l’Ourcq que l'on peut franchir par deux passerelles piétonnes.
Le parc est situé sur l’emplacement des anciens abattoirs de Paris construits en 1867.
Une partie était réservée à l’abattage des bêtes, l’autre servait de marché aux bestiaux. La grande halle servait de marché aux bœufs. Elle a été réalisée par Jules de Mérindol (1815-1888) élève de Baltard et reprend le type de bâtiment à charpente métallique que l’on trouvait aux halles de Paris. Réhabilitée par l'agence Reichen et Robert, elle accueille manifestations et expositions diverses.
Face à la halle on peut voir la fontaine aux lions de Nubie réalisée en fonte de fer au Creusot . Elle est dûe à Pierre Simon Girard (1765-1836). Elle se trouvait initialement place de la République et a été déplacée en 1867 lors des travaux du Second Empire.
Le parc accueille la Cité des sciences et de l’industrie, la Géode, la Grande Halle, la Philharmonie de Paris et la Cité de la musique.
Le concepteur du parc est Bernard Tschumi (1944-). Il crée des jardins à thème et 26 édifices rouges qui sont une réinterprétation des « folies » du 18e siècle.